Fantasque Time Line

[Casus Frankie]

17 juin
La campagne d’Italie
Opération Buckland
Front italien (est) – La 1st Infantry canadienne nettoie le terrain derrière les Allemands qui ont amorcé un mouvement de retraite – on en est sûr maintenant.
De son côté, la 6th Armoured (SA) récupère sa 13th Motorized Brigade, jusqu’alors engagée le long de la côte, à l’aile de la 2nd Infantry (SA). Le Kampfgruppe du 24. Panzer Rgt fait donc maintenant face à toute la division blindée sud-africaine. Les pertes allemandes sont lourdes (il ne reste que six engins au 625. sPzJ Abt), mais les Sud-Africains payent cher chaque blindé allemand détruit, et n’obtiennent pas un avantage décisif.
Près de la côte, la 2nd Infantry (SA) est maintenant au contact de la 52. ID et de la 7. LFD qui, malgré de très lourdes pertes subies ces derniers jours, tiennent le front allemand dans ce secteur.

Des Polonais migrateurs
Pérouse – Le bruit des moteurs qui se rapprochent des terrains de la ville est celui des Mustang de la 10e EC Poniatowski, qui vient se redéployer là, après une étape en Corse en venant de Yougoslavie. On avait envisagé de les baser à Gap-Tallard (dont le terrain, rendu inutilisable par les Italiens, a été rebâti grâce à plusieurs mois de travail pour reboucher les tranchées, réhabiliter ou reconstruire des pistes, et rebâtir des infrastructures), mais c’est finalement la 3e EC qui s’y est installée.
Les Polonais, fraîchement arrivés de Yougoslavie, ne doivent passer qu’une courte période dans les cieux de la Botte avant de rejoindre le front français.


18 juin
La campagne d’Italie
Opération Buckland
Front italien (est) – A l’aile ouest de l’offensive, les blindés canadiens ont repris contact avec les StuG et autres Marder de la 24. Panzer dans le secteur de Petriano. L’Edmonton Regiment a pu s’insérer sur le flanc du 17. Jäger Rgt (7. LFD), qui montre des signes de faiblesse. Ce faisant, il menace de couper la route 423, sur les arrières ennemis – c’est un danger mortel pour les unités allemandes qui tiennent ce secteur du front. Une fois de plus, celles-ci vont être obligés de retraiter, en devant parfois se frayer un passage de vive force contre les fantassins canadiens. Cependant, leur moral ne faiblit pas car elles disposent encore d’une ligne de recueil à proximité, alors que, visiblement, leurs adversaires s’essoufflent.
Pendant ce temps, à l’aile droite alliée, c’est au tour des Sud-Africains de nettoyer et sécuriser leur secteur, avant de se regrouper pour reprendre l’offensive.


19 juin
La campagne d’Italie
Opération Buckland
Front italien (est) – A l’aile gauche de l’offensive alliée, le recul allemand s’amplifie. Les hommes du XIV. AK savent pouvoir trouver, quelques kilomètres plus au nord, un nouveau segment de la Gottenstellung où ils pourront se refaire une santé. Du côté britannique, les pertes sont telles que l’état-major d’Alexander exclut déjà de tenter de franchir ce nouvel obstacle dans la foulée, d’autant qu’il faut d’abord nettoyer le terrain que les fantassins allemands ont littéralement pourri de mines, snipers, coupures de routes et autres pièges.
Pour aider la 24. Panzer à se dégager de Petriano et soutenir le 17. Jäger Rgt (7. LFD), qui peine à contenir les Canadiens de l’Edmonton Rgt, la Luftwaffe sort de nouveau en force. Dans la journée, l’Oberleutnant Wilhem Reinert, du II/JG 77, réussit un doublé contre deux Spitfire sud-africains, ce qui l’amène à 117 victoires confirmées.
Pendant ce temps, près de la côte, la 52. ID et le reste de la 7. LFD continuent de résister sur la ligne Trebbiantico – Novilara. Les Landsers empêchent la 2nd Infantry (SA) de progresser vers Pesaro. Pour lui permettre de percer jusqu’au port, l’état-major allié décide d’organiser pour le lendemain une opération de grand style.


20 juin
La campagne d’Italie
Opération Buckland
Front italien (est) – Pour soutenir l’opération Buckland, l’opération Pretoria associe la RAF, la Royal Navy et l’artillerie divisionnaire des forces terrestres. Les Wellington des Sqn 37, 40, 70 et 214 et les Marauder du Sqn 24 et du Sqn 25 SAAF bombardent les positions des forces allemandes. Sitôt les fumées dissipées, les bombardiers sont relayés par des bâtiments de la Royal Navy et par l’artillerie divisionnaire. Les défenses allemandes explosent littéralement tandis que la 13th Motorized Brigade sud-africaine parvient à percer sur les arrières adverses jusqu’au village de Tresole. A l’état-major allemand, on n’a plus le choix : il faut sonner la retraite pour sauver ce qui peut l’être. En fin de journée, les blindés de la 4th Armoured Brigade font leur entrée dans les faubourgs de Pesaro.
L’apport de la RAF (et de la SAAF) sur la partie est du front a été d’autant plus déterminant que la Luftwaffe était toujours engagée en secteur canadien pour couvrir le recul des chars de la 24. Panzer. Non sans y laisser des plumes : le major Hannes Faure, du Sqn 4 SAAF, a obtenu ses sixième et septième victoires, ce qui en fait l’as numéro un de sa formation.


21 juin
La campagne d’Italie
Opération Buckland
Bologne – Alors que les dernières troupes de la 52. ID et de la 7. LFD se retirent derrière le Foglia, une réunion organisée autour du général von Vietinghoff s’efforce de tirer les leçons de l’offensive alliée qui semble bien s’achever. Deux camps s’opposent.
Pour la Wehrmacht, la surprise de cette opération ne saurait se reproduire. Les Alliés ont toujours privilégié les changements d’axe afin de tenter de déstabiliser les défenseurs et de leurrer l’envoi des renforts. Les Anglais ayant attaqué deux fois de suite et ayant deux fois subi une attrition certaine, ils auront forcément besoin de reconstituer leurs forces : la prochaine attaque aura donc lieu en secteur américain (ou français), où se trouve semble-t-il maintenant deux divisions brésiliennes.
L’autre camp est celui de l’Abwehr, qui affirme que le front italien est maintenant devenu secondaire pour Français et Américains, laissant aux Anglais le leadership de fait sur le théâtre italien, en relation avec le front yougoslave. La prochaine offensive sera donc forcément lancée en secteur anglais, comme la précédente, d’autant que la plaine côtière est un terrain favorable.
Kesselring n’est pas loin de se ranger à cet argument. Il peut d’autant moins négliger cette hypothèse que le programme de démantèlement des défenses côtières du nord de l’Adriatique pour récupérer du matériel afin de créer de nouvelles lignes de défense dans le nord-est de la Botte a pris du retard, en raison d’attentats commis par les terroristes communistes et surtout de la paresse de ces fainéants d’Italiens. Si les Alliés percent, cela risquerait fort d’être définitif : il faudrait alors à évacuer la Botte, y compris les unités situées les plus à l’ouest et dans les Alpes.
Sur le front est, une autre mauvaise nouvelle n’incite pas à l’optimisme : pour tenir la ligne compte tenu des pertes en infanterie, une grande partie de la 24. Panzer a dû être engagée directement… et se retrouve immobilisée. Les réserves mobiles dans ce secteur ne sont plus constituées que d’un ou deux Abteilungen blindés, opérant sur du matériel de second ordre.


22 juin
La campagne d’Italie
Opération Buckland
Ancône – Les combats se calment d’autant plus vite que les ordres d’arrêt des opérations offensives ont été donnés la veille par l’état-major d’Alexander, qui fait aujourd’hui le bilan de l’opération Buckland.
Au niveau des points positifs, les objectifs prévus ont été atteints : une ligne de fortifications a été éliminée grâce à l’attaque à l’aile du saillant. De plus, selon les informations de la Résistance italiennes (et d’autres sources), la nouvelle fortification est la dernière constituant la fameuse ligne “Gothique” mise en place par les Allemands. Les reconnaissances aériennes comme les renseignements de terrain montrent clairement, au-delà, une diminution des tranchées, bunkers et autres ouvrages.
En revanche, on note par contre des problèmes récurrents pour obtenir le surnombre en blindés, notamment lors de l’exploitation. La faute au manque de moyens de franchissement lourds (Londres annonce l’arrivée prochaine d’une unité de ce type), mais également à l’insuffisance des grandes unités blindées pouvant être engagées en exploitation. Les départs de la 3e DB française puis de la 1st Armored américaine ont laissé ce front presque démuni : il a fallu utiliser la toute neuve division blindée sud-africaine.
A ces mots, le général De Stefanis, représentant l’Italie cobelligérante, se racle la gorge et demande la parole. Il fait remarquer que le Regio Esercito comporte trois divisions blindées et une mécanisée, que ces unités se sont comportées honorablement lors de la percée américaine vers La Spezia et que l’Italie serait très honorée de fournir son corps blindé pour exploiter une prochaine percée. Alexander remercie De Stefanis en lui promettant d’étudier la question avec l’US Army (et sans paraître s’apercevoir que la Division Piave, en réserve de son armée, aurait pu être mise en ligne). Aucun des deux ne semble remarquer l’air maussade de Devers et de Clarke, qui s’accommodaient fort bien de disposer au sein de la Vth US Army des autres unités blindées italiennes, sans parler de l’infanterie. Bref, tout le monde se quitte avec de grands sourires, mais chacun a en tête des arrière-pensées politiques.


23 juin
La campagne d’Italie
Fascistes nazifiés
Gênes – Sur la Piazza de Ferrari, une prise d’armes célèbre la création de la 29. SS-Grenadier Division Italia (à ne âs confondre avec la 29. PanzerGrenadier de la Heer). Cette unité est issue de l’amalgame des restes de diverses unités italiennes : des Chemises Noires, des prisonniers faits lors de la Noël de Sang dans les Balkans ou dans la Botte et ayant prouvé leur fidélité politique, mais aussi des hommes du comte Borghese, qui n’en peuvent plus de la futilité des actions demandées aux deux bataillons de la “Decima MAS”.
La division (qui est très loin d’avoir l’effectif correspondant) se distingue de ses consœurs de l’Ordre Noir par ses pattes d’épaule rouges. Elle partira le soir même pour le front – ou plutôt pour ses arrières, où elle sera censée assurer la sécurité des approvisionnement allemands.


24 juin
La campagne d’Italie
Opération Buckland
Front italien (est) – Buckland est bien finie. Le calme retombe sur la ligne de front près de la côte adriatique. Rien à signaler en dehors des divers mouvements de réorganisation et redéploiement des unités, occasionnant quelques échanges d’artillerie.

Renfort américain
Ier Corps d’Armée français (Alpes) – La 35th Infantry Division de l’US Army (général Paul W. Baade), directement arrivée des Etats-Unis, commence à monter en ligne sur le front des Alpes. Elle va peu à peu se glisser au centre, entre la 36e DI à gauche et la 3e DIM à droite. La 35th Infantry, division inexpérimentée, a été mise temporairement à la disposition de l’état-major français pour garder le front des Alpes afin que les Français libèrent une partie des unités expérimentées du 1er CA et les envoient dans les Vosges. En échange, les Français ont accepté de prendre à leur compte le siège des poches de l'Atlantique avec leurs nouvelles unités en formation, afin de libérer les divisions américaines qui y sont immobilisées.
Ce renfort précède donc le début du glissement du 1er CA vers les Vosges, avec la 27e Division Alpine, la 4e Division Marocaine de Montagne, le 3e Rgt de Spahis Marocains, puis le 104e Rgt d’Artillerie Lourde de CA. Ce qui restera sur le front des Alpes (36e DI, 35th Infantry, 3e DIM, 1er et 3e GTM et 1er RCA) deviendra le Groupement Divisionnaire des Alpes, sous le commandement du général Jean Rabanit, qui vient de gagner une étoile et de céder le commandement de la 3e Division Blindée au général Jean Touzet du Vigier.


25 juin
La campagne d’Italie
Opération Strangle
Guerre aérienne – Si le calme est revenu au sol, la guerre continue dans les airs. Ainsi, le major Herchel Green, du 325th FG, le même qui était ressorti indemne (quoiqu’avec un “Jug” sérieusement “cramé”) de l’explosion du train de Bologne quelques jours auparavant, s’octroie deux victoires confirmées, pour un total de 13.
Dans le même secteur, les Brésiliens du 1° Gavca (350th FG) sont aussi à la fête avec la deuxième victoire du sous-lieutenant Renato Goulart Pereira contre un “Bf 109 G” de la RSI (il s’agit en fait d’un Fiat G-55). Le jeune pilote auriverde aura les honneurs de la presse de son pays, où ses exploits ne tarderont pas à être suivis jusque dans les favelas de Rio.


26 juin
La campagne d’Italie
Opération Bingo
Col du Brenner – Deux squadrons de la SAAF mènent une nouvelle mission Bingo contre les installations ferroviaires du Brenner. Les B-26 des Sqn 24 et 25 sont escortés par les Mustang polonais de la 10e EC. Le patron de la 10e EC, le lieutenant-colonel Bolesław Drobiński, a tenu à aller en personne jusqu’aux terrains des Sud-Africains afin de rencontrer leurs officiers pour préparer la mission, où les trois groupes de l’escadre ont été engagés.
La mission se déroule sans encombre, bien que la présence de la chasse ennemie donne du travail à l’escorte. Deux Marauder rentrent sur un moteur. Escortés, ils se posent à Pérouse où les équipages ont droit à une hospitalité toute polonaise. Aucun appareil n’est abattu.
Au Brenner, les ouvriers italiens et autrichiens se remettent une fois de plus au travail pour reboucher les cratères et remplacer les rails. Le ravitaillement du nord de l’Italie passe de plus en plus souvent par la route.


27 juin
La campagne d’Italie
Promesse tenue
SAAF – Il ne sera pas dit que le gouvernement de Londres ne tient pas ses promesses : les terrains de la force aérienne sud-africaine en Italie voient arriver aujourd’hui leurs premiers lots de Spitfire IX. Les appareils rééquiperont les Sqn 5 et 7 (SAAF), pour le plus grand bonheur des pilotes qui commençaient à trouver poussifs leurs vieux Spit V.
Ce modèle continuera malgré tout à servir au sein des Sqn 2 et 4 (SAAF) et chez les Italiens cobelligérants.


28 juin
La campagne d’Italie
Opération Strangle
Rapallo – Les pilotes du 57th FG assistent à une explosion spectaculaire ! Alors que les “Scorpions” du 64th FS s’en prennent aux postes d’aiguillage de la gare de Santa Margherita Ligure, les “Fighting Cocks” du 66th attaquent un tunnel au sud de la ville. Les premières passes se déroulent sans problème : plusieurs bombes de 500 livres tombent tout près de l’entrée du tunnel, provoquant un éboulement massif sur son entrée.
A ce moment, le 1st lieutenant Dick Johnson aperçoit, du côté opposé de la crête, l’entrée d’un autre tunnel. L’approche “à plat” ne sera pas facile, compte tenu du relief. Joueur, et tenant à se débarrasser de sa charge de manière utile, il décide de tenter le coup. Par chance, le projectile plonge pile dans le tunnel ! Quelques secondes plus tard, alors que le Mustang dégage vers la mer, une terrible explosion secoue la colline entière. Visiblement, le tunnel était occupé.
L’ouvrage en question ne sera jamais reconstruit, les architectes italiens préférant retracer la ligne dans la vallée voisine entre Recco et Rapallo, la gare de Santa Margherita Ligure devenant une impasse. Les habitants se souviendront longtemps de l’énorme flamme jaillissant de l’autre extrémité du tunnel, à plus de 300 mètres de l’entrée bombardée.


29 juin
La campagne d’Italie
Opération Walrus
Trieste – Après avoir été une fois de plus bombardé la nuit précédente par les Wellington du 205th Group, le port montre un visage de désolation. Alors que soldats et ouvriers tentent de remettre de l’ordre, surgissent les Beaumont des Sqn 55 et 69, couverts par les Spitfire du Sqn 92, qui viennent parachever l’œuvre de Wellington. Les docks et les chantiers sont à nouveau pris pour cible, subissant de nouveaux dégâts qui renvoient aux calendes grecques les tentatives de réparation des navires touchés précédemment.
Cependant, aucune autre unité n’est touchée : les dernières MS ont appris à se cacher et à se camoufler ailleurs, le long de la côte, elles seront difficiles à coincer. Le raid rentre sans perte : le mélange d’heure matinale et de basse altitude a dérouté la Flak, quant aux chasseurs de la JG 27, ils sont occupés plus au sud.


30 juin
La campagne d’Italie
Renforts… d’occasion
Rome –Le nouveau 3° Stormo reçoit ses nouveaux appareils en présence du roi d’Italie. Ce groupe destiné à la reconnaissance se voit équipé de Lockheed F5 de seconde main.

[Wings]

Derniers jours de Buckland:


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"It takes the Navy three years to build a ship. It will take three hundred years to build a new tradition. The evacuation will continue." Sir Andrew Cunningham, Mai 1941
"Let me soar! [...] I need no great host, just [Tyene]" - Nymeria Sand, AFFC II

[Anaxagore]

Des Polonais migrateurs
Pérouse – Le bruit des moteurs qui se rapprochent des terrains de la ville est celui des Mustang de la 10e EC Poniatowski, qui vient se redéployer là, après une étape en Corse en venant de Yougoslavie. On avait envisagé de les baser à Gap-Tallard (dont le terrain, rendu inutilisable par les Italiens, a été rebâti grâce à plusieurs mois de travail pour reboucher les tranchées, réhabiliter ou reconstruire des pistes, et rebâtir des infrastructures), mais c’est finalement la 3e EC qui s’y est installée.
Les Polonais, fraîchement arrivés de Yougoslavie, ne doivent passer qu’une courte période dans les cieux de la Botte avant de rejoindre le front français.

Amusant, c'est sur la piste de Gap-Tallard que j'ai passé mon baptême de l'air.
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Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe.

[Hendryk]

[ChtiJef]

[loic]

[patzekiller]

c'est bien lui,
42 otl, c'est le front africain...
ftl, pas de front africain donc pas d'accident même si la 1st SA va connaitre une trajectoire semblable (pertes>transformation en DB), le choix narratif du non-accident a été fait pour illustrer les "tensions" politiques au sein du cabinet de guerre à londres, smuts jouant un jeu avec en toile de fond les velléités d'indépendance pour les sud af et d'autres.
c'est donc à travers ce prisme qu'il faut voir la nomination de brinks, le ré équipement des unités sud af et d'autres trucs les concernant et revenant ponctuellement dans les textes
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www.frogofwar.org

[Casus Frankie]

@ Chtijef - Exact, merci. Problème : fils de prince, JV Borghese porte un tas de titres bizarres, mais n'est ni prince (il est le cadet de sa fratrie) ni comte. Alors que tout le monde lui donne du prince ! Le Prince Noir, le Prince Grenouille……

@ Loïc et Patrick - Nous avions eu l'occasion d'en parler avec Pat. George (sans) Brink est un des personnages qui doit la vie à la FTL …
Même chose pour les conséquences politiques sur le rôle de l'Afrique du Sud.
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Casus Frankie

"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire)