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Les armes secrètes nazies, entre mythe et réalité.
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Capitaine caverne



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MessagePosté le: Lun Aoû 10, 2009 10:47    Sujet du message: Répondre en citant

Aujourd'hui, pas de nouveautés mais le début du travail sur les Entwicklung. Etant donné le peu de donnés disponibles sur les différents modèles, la partie consacrée à la genèse sera plus importante que pour mes autres chapitres. Je compte toutefois arranger le destin de Séries E en les mettant à la sauce FTL.
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Capitaine caverne



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MessagePosté le: Mar Aoû 11, 2009 10:27    Sujet du message: Répondre en citant

Nouveauté du jour, la genèse des blindés des séries E, les Entwicklung. Ils étaient destinés OTL à remplacer l'ensemble des modèles existants à partir de l'année 1945 pour assurer la suprématie de la Panzerwaffe sur ses opposantes dès 1946. Demain début du travail sur les différents blindés eux-mêmes. Avec des innovations parfois étonnantes, comme une suspension a hauteur variable, des parties de chars faites d'un seul bloc ou un canon de calibre 170 mm.
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Capitaine caverne



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MessagePosté le: Mar Aoû 11, 2009 14:24    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens de m'apercevoir que j'avais oublié d'intégrer à ma liste de jouets technologiques un certain nombres d'équipements pourtant célèbres.
Voici les petits nouveaux qui vont être ajoutés à la liste.
- Le Panzerfaust (à classer dans la rubrique armes d'infanterie).
- Le Nebelwerfer (à classer dans la rubrique artillerie).

Et j'ai finalement décidé de récupérer le mini-char télécommandé Goliath car OTL le prototype de véhicule télécommandé à été capturé par les allemands dans l'atelier du concepteur sur les bords de la seine. Etant donné le faible délai qui sépare la chute de Paris du POD, j'estime que le prototype ne peut guère échapper aux mains des allemands.

P.S Si d'après vous j'ai oublié quelque chose dans ma liste des armes nazies innovantes et/ou exceptionelles, signalez les moi et je verrai si je dois les intégrer ou non.
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Capitaine caverne



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MessagePosté le: Mer Aoû 12, 2009 07:35    Sujet du message: Répondre en citant

3) L'artillerie.
- Le "Karl-Gerat".
Cette arme était un canon howitzer super-lourd de siège automoteur. Elle demeure d'ailleurs l'arme automotrice la plus grosse et la plus puissante jamais construite. Son histoire commence en mars 1936, quand la société Rheinmetall proposa de construire une arme capable d'attaquer les fortifications de la ligne Maginot. L'idée initiale était celle d'une arme transportée en pièces détachées, puis remontée sur place avant utilisation. Néanmoins, en janvier 1937, il fut décidé d'en faire une arme automotrice. Les essais de conduite de la partie "véhicule" eurent lieu en 1938 et 1939, a partir d'une version plus petite afin, entres autres d'étudier les effet de la pression au sol. Les essais de tir eurent lieu en juin 1939 et en mai 1940, les essais de conduite à l'échelle réelle commencèrent. C'est le général Karl Becker, du corps de l'artillerie qui lui a donné son nom. Les essais du prototype furent jugés concluants ce qui permit de passer commande de six exemplaires qui sortirent d'usine entre novembre 1940 et aout 1941.
En février 1941, commencèrent des discussions visant à l'amélioration de la portée de l'arme. En mai 1942, il fut décidé de changer les armes de 600 mm montés sur les châssis en faveur de canons de 540 mm. Toutefois, cette conversion était loin d'être une priorité et lors d'une conférence avec Hitler en Mars 1943, celui-ci fut avertit que le premier Gerät converti serait livré en Juin et les suivants en Juillet et en Aout. Seuls trois exemplaires furent finalement convertis, aucun autre véhicule n'étant capable de supporter la version "allégée" de l'arme. Six autres unités furent commandés en février 1943, suite à une demande insistante des généraux du front russe de pouvoir réduire la résistance des forces soviétiques des secteurs fortifiés avec un cout humain et matériel moins élevé pour leurs troupes, à l'aide de canons automoteurs lourds ayant fait leurs preuves. Les unités supplémentaires commandées étaient pour moitié des 600 mm et pour moitié des 540 mm. Ils furent livrés d'aout 43 à juin 44. Quarante-quatre Panzer IV des variantes D, E et F furent transformés en transport de munitions, par lots de deux ou trois par arme, afin de les soutenir.
Le Karl-Gerät pesait 124 tonnes ( 137 en position de tir), et mesurait 11.15 mètres de long sur 3.16 mètres de large et 4.38 mètres de haut en position de tir, avec un équipage de 21 hommes pour le mettre en action. Le canon mesurait 4.20 mètres de long et utilisait des obus de calibre 600 mm chargés à l'horizontale, avec un recul hydro-pneumatique. Le canon avait un angle d'élévation compris entre 55 et 70°, avec un angle de rotation horizontal de 8°. La cadence de tir était d'un coup toutes les 10 minutes. L'ensemble était propulsé par deux moteurs Daimler-Benz MB 503 A et MB 507 C fonctionnant l'un à l'essence, l'autre au diesel et développant 580 Ch tous les deux. Avec un réservoir de 1200 litres, l'arme avait une autonomie de 42 Km ou de 60 Km en fonction du moteur utilisé, à une vitesse comprise entre 6 et 10 Km/h.
Sa variante avait des caractéristiques un peu différentes, avec un poid de 126.35 tonnes ( 139.28 en position de tir). Ses dimensions étaient de 11.37 mêtres de long sur 3.16 mètres et 4.38 mètres de haut en position de tir. Le canon mesurait 6.25 métres de long et tirait des obus de calibre 540 mm.
Le Karl-Gerät était si lourd et si lent qu'il devait être amené sur sa zone de déploiement avec un convoi férroviaire spécial. Il était parfois nécéssaire de faire descendre l'arme pour pouvoir passer certains ponts, l'arme et son wagon traversants séparéments. Arrivé sur place, le canon était séparé de son véhicule porteur afin de faciliter la descente au sol de celui-ci. Ils étaient alors réassemblés et l'ensemble pouvait gagner sa position finale par ses propres moyens. Si l'arme pouvait se déplacer de manière relativement aisée sur un sol normal, et si celui-ci était mou, il fallait manoeuvrer avec lenteur pour éviter l'enlisement. Les faibles angles de rotation du canon imposaient de positionner avec précision l'arme afin de permettre une visée aussi précise que possible.
Les Karl-Gerät ne furent engagés au combat qu'à sept reprises au cours de la guerre. En 1942, ils furent déployés successivement contre la Forteresse de Brest-Litovsk, les fortifications frontalières près de Lvov et lors du siège d'Odessa. En 1943, ils furent utilisés pour soutenir le groupe d'armée nord qui subissait une offensive soviétique puis ils participèrent à l'écrasement du soulèvement de Varsovie. Ils participèrent aussi à la bataille des Ardennes et leur dernier engagement au feu eut lieu en 1944, près de Remagen, pour empêcher la prise du célèbre pont. Les treize exemplaires furent tous capturés par les alliés en plus ou moins bon état. Les exemplaires n°2, 5, 7 (le prototype) et 13 furent envoyés aux USA pour essais, puis démantelés ultérieurements. Les exemplaires n°1, 3, 4, 6 et 8, furent capturés par l'armée rouge et subirent un sort similaires, à l'exception du n°1 qui existe toujours et est présenté au musée de Kubynka. Les exemplaires n° 9 et 10 furent offerts aux britannique et les numéros 11 et 12 offerts à la France. Ils subirent des sort analogues, mais pas tous car on peut voir aujourd'hui le n°10 au musée royal de l'artillerie de Douvres et le n°12 au musée national de l'artillerie de Brienne.


- Le Krupp K5.
Cette arme est le résultat d'un programme d'urgence lancé en 1934 pour constituer une force d'artillerie sur voie férré destiné à appuyer la Wehrmacht à partir de 1939. Le projet se déroulant assez vite, les essais de tirs eurent lieu en 1936 au centre de Rügenwalde-Bad en Poméranie orientale. Les tests initiaux eurent lieu avec des canons de calibre 150 mm, mais ce fut jugé insuffisant et des canons de calibre 283 mm furent choisis à la place. Les plans de productions initiaux comptaient sur huit armes mises en services au moment de l'attaque sur la France, mais des problèmes de profilage de l'affut du canon entrainèrent un report du déploiement des premiers exemplaires. Au cour de la guerre, certains exemplaires furent modifiés pour tirer des fusées, d'autres pour porter des canons de calibre 310 mm capables de tirer des obus-flèches. Dans la période finale de la guerre, après les débarquements à l'ouest, il fut même question de remplacer les bogies du porteur par des Panzer VI modifiés. La plateforme porteuse utilisait du matériel férroviaire allemand standard pour pouvoir être mise en oeuvre facilement. L'utilisation opérationnelle du K5 posait des problèmes, à savoir qu'il était nécéssaire de faire feu dans l'axe des rails, le canon n'étant pas mobile sur l'axe horizontal. Cela rendait parfois obligatoire de construire de petits réseaux ferrés provisoires dotés d'une plateforme circulaire rotative à 360° ou on positionnait le K5 afin de permettre une souplesse d'utilisation maximale.
Construits par Krupp, le K5 achevé pesait 218 tonnes et mesurait 30 mètres de long en mode voyage (32 mètres en position de tir), le canon lui-même mesurant 21.54 mètres. D'un calibre de 283 mm et tirant des obus pesant 255 Kg, l'arme avait un angle d'élévation de 50°, mais seulement 1° d'angle à l'horizontale. Il pouvait tirer 15 coups par heure, et avec une vitesse initiale de 1120 m/s à 50 km.
36 exemplaires furent fabriqués au cours de la guerre et ils appuyèrent toutes les grandes opérations allemandes sur tous les fronts. La dureté des opérations, surtout sur le front russe, entraina des pertes par bombardement aérien et terrestre qui suscitèrent de nouvelles commandes. 18 exemplaires furent capturés par les différentes armées alliés en 43-44, mais très souvent envoyés à la férraille dans l'immédiat après-guerre, car la technologie des missiles qui venait d'apparaitre menaçait l'artillerie lourde sur voie férré d'obsolescence rapide. Qui plus est les vainqueurs de l'Allemagne était déjà largement dotés avec des matériels de ce genre. L'idée devait toutefois faire des émules aux USA ou le Krupp K5 inspira au tournant des années 50 le concept de canon automoteur capable de tirer des projectiles nucléaires, lequel ne dépassa pas le stade du prototype devant les progrès de la technologie des fusées.
Trois exemplaires de K5 seulement ont survécus jusqu'à nos jours. Le premier se trouve en Grande-Bretagne et fut offert à la ville de Douvres en guise de remerciement pour avoir supporté avec courage pendant presque quatre ans les bombardements à longue portée allemands. Entretenu avec soin, on peut le voir au musée royal de l'artillerie, crée autour de lui dans les années 60. Les deux autres sont devenus célèbres sous les noms de " Brausio Annie" et "Graziano Express". Cachés dans les tunnels férroviaires proches de la frontière italienne, ils bloquèrent pendant des mois les troupes alliés parvenues à proximité de la frontière après le débarquement de Provence. Capturés par des partisans italiens près de Turin lorsque leurs équipages cherchèrent à les rapatrier en urgence vers l'Autriche, ils furent partagés en les USA et la France. L'un se trouve aujourd'hui à "L'United States Army Ordonance Museum" à Aberdeen dans le Maryland, l'autre se trouve au musée d'Audhingen au musée de la batterie Todt. Mais celui-ci a pris la rouille par manque d'entretien et il est question de le faire restaurer.

- Schwerer Gustav.
Cette arme colossale est à ce jours l'arme à feu la plus grande jamais construite et tirant les projectiles les plus lourds jamais fabriqués.
Ce monstre est le résultat d'une commande passé par le haut commandement allemand à Krupp en 1934 pour la construction de canons géants capables de détruire les forts de la Ligne Maginot en tir direct. Le canon devait être capable de percer sept mètres de béton armé et un mètre d'acier. Erich Müller, l'ingénieur en charge du projet calcula que l'arme devrait avoir un calibre d'environ 800 mm, tirer un projectile de 7 tonnes à travers un affut de 30 mètres de long. L'arme achevée pèserai plus de 1000 tonnes, serait incapables d'utiliser un réseau de rails normal et devrait nécéssiter l'installation d'un réseaux de chemins de fer spécial de forme courbe pour permettre de déplacer l'arme et de faire les réglages de tirs. Krupp envisageait des canons de calibre 700, 800, 850 et 1000 mm.
Rien ne se passât jusqu'en mars 1936, lorsque Hitler visita le siège de Krupp à Essen et demanda une étude de faisabilité de l'arme, sans passer formellement commande. Les travaux commencèrent immédiatement, basés sur l'idée d'une arme de calibre 800 mm. Les plans furent achevés au printemps 1937 et la construction du premier exemplaire commença dès l'été. Toutefois, la construction d'une arme aussi grosse posait toutes sortes de difficultés techniques et il devint assez vite évident que la date de livraison initiale prévue pour le printemps 1940 ne pourrait être respectée.
Un modèle d'essais fut terminé à l'automne 1939 et envoyé au centres d'Hillersleben pour essais. Le pouvoir de pénétration fut testé à cette occasion et, comme prévu, le canon fut capable de percer les sept mètres de béton armé et les un mètre de blindage d'acier. Deux obus furent mis au point, un de 7 tonnes pour les tirs anti-fortifications et un obus explosif de 11 tonnes pour les tirs "traditionnels". Les tests achevés au milieu de l'été 1940 permirent de lancer la fabrication du wagon spécial destiné à porter le canon. Au printemps 1941, Alfred Krupp accueillit personnellement Hitler pour une démonstration au centre d'essais de Rügenwald. Le test fit une telle impréssion au dictateur qu'il interdit que la munition de 11 tonnes soit employé sans son accord (qu'il ne donna jamais). Il passa également commande de deux exemplaires. Les tests finaux de tirs eurent lieu en septembre et octobre 1941 et permirent d'atteindre une portée de 37210 mètres. Le Schewerer Gustav fut déclaré opérationnel en Février 1942 et son jumeau Dora en Juillet de la même année.
Achevés pour un cout unitaire de 7 millions de Reichmark, ces armes pesaient 1350 tonnes et mesuraient 47.3 mètres de long pour 7.1 mètres de large et 11.6 mètres de haut. Le canon lui-même mesurait 32.48 mètres de long. L'équipage comptait 250 hommes pour assembler l'arme en 54 heures, 2500 hommes pour preparer le terrain en 6 semaines avant son arrivée et 2 bataillons de Flak comme couverture anti-aérienne. Le canon de calibre 800 mm avait un angle d'élévation maximal de 48° et pouvait soutenir une cadence de tir de un coup toutes les 30 ou 45 minutes, ou bien 14 coup par jour. Avec une vitesse de tir initiale de 820 m/s pour l'obus explosif et de 720 m/s pour l'obus perforant, les projectiles perforants avaient une porté efficace de 39 Km, même si l'obus explosif avait atteint une portée de 48 Km lors des essais. Notez que les donnés de temps pour la mise en oeuvre et l'utilisation opérationelle viennent de la seule fois ou les canons ont étés déployés sur le front. Pour transporter le canon, un chassis spécial fut fabriqué, lequel était supporté par quatres bogies en parallèles sur rails. Chaque bogie avait 20 axes de transmission, pour un total de 80 axes et 160 roues.
A partir de 1943, des projets apparurent pour ameliorer l'arme. L'un deux consistait à monter le canon sur une plate-forme automobile, le Landkreuzer P.1500 Monster. Un autre était de modifier la canon pour qu'il puisse tirer une roquete spéciale à très longue portée, qui était censée atteindre une distance minimale de 150 Km et bombarder l'Angleterre. Il aurait fallut allonger l'affut du canon jusqu'à 84 mêtres de longueur pour atteindre ces performances. Le plus ambitieux , appelé Longer Gustav, consistait à fabriquer un nouveau canon d'une longueur de 43 mêtres et d'un calibre de 520 mm pour povoir lancer une roquette de 680 kilos à une distance de 190 Km et bombarder Londres. Aucun de ces projets ne devaient aboutir, faute de moyens. La durée de vie de l'affut prévue était initialement de 100 coups, mais arrivé à 50, l'usure des tubes était telle que Schwerer Gustav et Dora furent retirés du front pour êtres renvoyés à l'usine et réusinés.
Ces armes énormes ne furent déployés que trois fois et d'abord pendant l'hiver 42-43, lors du siège d'Odessa. Après un premier et sanglant assaut manqué mené par les troupes roumaines, il fut décidé de réduire la place forte soviétique par tous les moyens. Les super-canons de 800 mm furent envoyés sur place, avec l'ensemble des Karl-Gerät pour rejoindre le plus grand et puissant parc d'artillerie de siège jamais rassemblé. La majorité du parc d'artillerie lourde de l'axe fut réuni autour d'Odessa afin de réduire les défenses de la ville. Le premier canon tira 48 coups et le second 49 et ils pulvérisèrent en deux semaines les forts entourants la ville, ainsi que les positions d'artillerie cotière, permettent ainsi la prise de la ville.
Renvoyés en allemagne, ils ne furent réutilisés qu'en deux autres occasions, lors de l'invasion de l'italie par l'allemagne en janvier 43 (pour détruire les forts italiens de la frontière) et lors de l'opération "Nordwind" en 44, contre la ligne Maginot (afin de crédibiliser cette action de diversion en parallèles de l'offensive des ardenne). Après la fin de la guerre, les troupes américaines trouvèrent les restes de deux super-canons qui avaient étés détruits par leurs équipages pour prévenir leur capture. Le Trophée était trop beau pour ête abondonné et les morceaux furent envoyés aux USA au centre d'essais d'Aberdeen. Les éléments les moins endommagés des deux anciennes armes furent combinés en une seule et un Schwerer Gustav/Dora complet pus être réassemblé. Des essais de tirs eurent même lieu pour vérifier que l'arme, nommé Patchwork, était fonctionelle. On peut aujourd'hui la voir au musée du centre d'essais.


- Le V-3 Hochdruckpumpe.
Cette arme étrange, que l'on qualifie de canon en raison de son principe de fonctionnement, tirait des projectiles qui étaient davantages des fusées que des obus. C'était en fait un canon à chambres multiples.
Avant d'en faire l'histoire, il convient d'en décrire le principe. Dans un canon normal, lorsque la charge de poudre d'un obus s'enflamme, elle brule et se transforme aussitot en gaz. Lequel gaz, en raison de sa compréssion dans l'affut du canon, produit une poussée qui propulse la tête de l'obus à grande vitesse hors du tube. Chez le V-3, le principe de base est le même, mais le canon (qui fait des dizaine de mêtres de long) possède de multiples chambres de détonations additionelles. Lorsqu'après la première détonation l'obus est propulsé dans l'affut du canon, à chaque passage devant l'une des chambres auxiliaires, il y a la détonation d'une charge secondaire, produisant une poussée supplémentaire augmentant la vitesse de l'obus. Et ainsi de suite au passage de chacune des chambres secondaires, augmentant à chaque fois la vitesse du projectile. L'idée générale étant de pouvoir expedier un projectile à des distances très supérieures à celles d'un canon traditionnel. Les prémices d'une arme de ce genre dataients des années 1880 et venaient des USA, mais n'avaient jamais rencontrés le succès jusque là, tous les projets ayant échoué à rendre réèlement opérationnel une telle arme.
Cette idée innovante vient de August Coenders, ingénieur en chef chez Röchling Stahlwerke. Au début d'Octobre 1940, on découvrit dans un wagon abandonné du coté d'Avignon des documents (vraisemblablements oubliés pendant le grand déménagement), qui étaients en fait des études pour des pièces d'artillerie à très longue portée, dont les performances devaient au minimum égaler celles du "canon de paris" de la grande guerre, voire les dépasser. Elles n'avaient jamais vraiment abouties et avaient étés arrétés au début des années 30 pour ne pas choquer l'allié anglais.
Convaincu qu'il pouvait aboutir, il se lança dans un projet de canon à chambres multiples, associé avec Hermann Röchling. En Mars 1941, ils présentèrent le projet et un prototype d'obus à la "Tanière du Loup", le Quartier-Général de Hitler. Ils obtinrent alors de faire des essais à une échelle réduite, qui eurent lieu en Juillet. Le succès des essais permit aux ingénieurs d'obtenir le soutien de Fritz Todt, le ministre de l'armement du reich. Après avoir reformulé le projet, celui fut présenté à nouveau à Hitler au mois d'Octobre et l'enthousiasme du dictateur fut tel que celui-ci voulut passer commande dès novembre avant même que des éssais à l'échelle 1:1 aient eu lieu. Coenders, soutenu par Todt, fit valoir que l'arme était loin d'être au point et qu'il était prématuré de passer commande à ce stade du projet. D'autant que tous les défauts de l'arme n'avait pas forcément été détectés. Hitler se laissa fléchir et suspendit sa commande.Le dictateur voulut autoriser que les essais se fassent sans accord ou supervision de l'armée, mais Todt le convainquit qu'un projet aussi ambitieux techniquement devait être supervisé par des professionels et le programme fut placé sous l'autorité du commandement de l'artillerie. Lequel trouvant l'arme d'un intérèt douteux, chercha à la faire annuler, mais le soutien déclaré d'Hitler au projet interdisait d'agir ouvertement et devait finalement empecher les artilleurs de parvenir à leurs fins.
Le projet initial d'Octobre 41 prévoyait que l'arme achevée serait un canon de calibre 150 mm, long de 150 mêtres pourrait tirer des obus de 3 mêtres de long et pesant 140 kilos avec une charge explosive de 25 Kilos à une distance de 160 Km. La cadence de tir devait être d'un coup toutes les 5 minutes, tirés par 25 à 50 canons placés sur les côtes françaises pour bombarder Londres d'environ 300 à 600 obus par heure. Différents noms de codes furent choisis pour leurrer les renseignements alliés, mais V-3 pour Vergelstungswaffen 3 (arme de revanche/représailles n°3) fut son appelation finale lors de son entrée en service. Les essais finaux eurent lieu au centre de tir d'Hillersleben de Décembre 41 à Février 42 sur un modèle réduit. Un premier rapport du 6 Mars 1942 indique des résultats encourageants mais qui nécéssittent des essais complémentaires avec une version taille réelle de l'arme. Ceux-ci eurent lieu à Misdroy (devenue une ville polonaise après guerre) à la fin du mois de Mai en présence de genéraux du corps de l'artillerie. Ce fut un sévère échec, le canon s'avérant trop fragile, avec une espérance de vie et une cadence de tir nettement inférieures aux prévisions initiales. Qui plus est, même avec une porté correspondante au projet initial, le V-3 devenait d'un intérèt limité, la charge explosive du projectile étant estimé trop faible avec seulement 25 kilos.
Néanmoins le projet était toujours soutenu par Hitler, et également par Albert Speer, le successeur de Todt. Des nouveaux essais eurent lieu lieu à partir de la fin du mois de Juillet, lesquels confirmèrent les précédents, une explosion détruisant même une partie du tube au 25 ème coup. Début Octobre 42, un rapport indiquait que les problèmes étaients en cours de résolution, mais que les exigences en matière de cadence de tir devaient êtres revues à la baisse, l'usure rapide du tube entrainant des changements de pièces fréquents. Les détonations multiples imposaient également de verifier régulièrement l'alignement des différentes sections du tube pour éviter que l'obus-fusée ne détruise pas le canon en cas de désalignement d'une section. Une cadence de un coup toutes les 30 minutes par pièce était préféré au rythme initial prévu d'un coup toutes les 5 minutes. Depuis le mois de Septembre, un site d'essais en conditions réelles et à grande échelle était en cours de construction à Mimoyecques, en arrière du Cap Gris-Nez. Les travaux du site, entièrement souterrain (pour protéger les 25 canons prévus qui étaients totalements immobiles), durèrent jusqu'en Octobre 1943. Le site avait été bombardé à plusieurs reprises, signe que les alliés étaients conscients de l'importance du projet en cours mais les bombes alliés ne firent que peu de dégats et principalement des victimes dans les équipes de contruction. Les bombardements poussèrent toutefois les allemands à annuler la construction d'un second site de tir, prévu à coté du premier, à cause des perturbations engendrés par les dégats des bombes à la surface. Devenu opérationnel le 5 octobre, le 705ème bataillon d'artillerie commenca les tirs le jour même et expédia 600 projectiles sur Londres dans la journée qui firent environ 350 morts et 900 bléssés. Ayant compris le soir même la nature des projectiles et leur provenance, les alliés entamèrent dès le lendemain une campagne de bombardement contre le site des tirs (auquel devait participer Joseph P. Kennedy Jr, le futur président des Etats-Unis), non pour détruire les canons mais pour perturber autant que possible le ravitaillement en munitions et pièces détachés. La campagne ne devait connaitre qu'un succès mitigé, la solidité des bunkers permettant de proteger le système de ravitaillement, et les bombes ne touchant que le réseau férroviaire de la surface. La cadence de tir tomba toutefois à 300 coups par jour assez rapidement et lorsque le site fut capturé par les troupes canadiennes le 6 janvier 1944, 39571 projectiles avaients été tirés depuis Mimoyecques. Ils avaient fait environ 4000 morts et 12000 bléssés. Ce chiffre, assez faible eu égard au nombre de coups tirés, s'explique par l'immobilité des canons qui rendaient presque impossible de modifier la trajectoire des projectiles. Les britanniques firent évacuer au bout de quelques jours les zones ou les obus avaient "l'habitude" de tomber, de qui fit decroitre considérablement l'efficacité du V3.
La prise du site de tir de Mimoyecques ne devaient pas entamer la détermination des allemands à se servir du V3. Le Général SS Kammler, devenu responsable du V3 début janvier, commenca à preparer deux nouvelles batteries, à Lampaden en Rhénanie et à Bühl en Bade. Celles-ci devaient bombarder respectivement Luxembourg et Belfort, dans le cadre de l'offensive des ardennes et de l'opération "Nordwind". Les difficultées matérielles croissantes de l'allemagne contraignit Kammler à limiter les canons à des versions réduites des armes d'origine, a savoir des pièces de 50 mètres de long et d'une portée de 43 kilomètres seulement. La charge explosive n'était plus que de 9 kilos. Les deux batteries de quatre canons tirèrent sur leurs objectifs à partir de mars et avril 1944, et expédièrent 368 projectiles qui firent 20 morts et 70 blessés environ. 92 projectiles seulement touchèrent les zones urbaines, ce qui contribue à expliquer le manque de succès des bombardements. Les V3 se turent dès la mi-mai devant l'avance des alliés en allemagne, et les sites de tir capturés quelques jours plus tard.
Après l'armistice les restes des armes (toutes sabotées avant la prise des différents sites) furent récupérés par les américains qui les ramenèrent aux USA pour essai et évaluation. Le V3 fut déclaré sans intéret et ses éléments envoyés en fonderie en 1947.
Considéré comme obsolète dès sa capture, le concept du canon à chambres multiples ne devait pas survivre à l'apparition du missile, déja plus performant et plus souple d'utilisation, et rester sans descendance. La seule innovation qui survécut au canon fut la poudre liquide employé lors des tirs et qui fut ré-étudiée par les américains à partir de la fin des années 1990, lorsqu'il devint évident que les poudres classiques utilisés dans les obus jusque-là arrivaient en limite de performance pour la puissance propulsive. Les travaux menés laissent espérer une augmentation sensible de la portée des tirs, mais risquent aussi d'entrainer des modifications des canons pour supporter une explosion de la poudre des obus plus puissante que sur les versions traditionelles des munitions d'artillerie.

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MessagePosté le: Jeu Aoû 13, 2009 10:13    Sujet du message: Répondre en citant

Nouveautés du jour, le E-5 (successeur du Panzer II), le E-10 (successeur Panzer 38(t)) et le E-25 (successeur des panzer III et IV). Les articles les concernant de me donnent pas satisfaction et je vais les réécrire (au moins partiellement) dans le courant de la semaine prochaine. Quand j'en serai satisfait, je passerais au Nebelwerfer et à ses petis camarades que j'ai ajouté à ma liste dernièrement. Ne soyez pas surpris si beaucoup d'informations manquent, c'est le plus souvent qu'elles sont inexistantes ou très difficiles à trouver. Pour les données manquantes (poids, dimensions, autonomie, blindage, etc...) je vais extrapoler à partir des blindés allemands équivalents qu'ils sont censés remplacer.
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MessagePosté le: Ven Aoû 14, 2009 10:05    Sujet du message: Répondre en citant

Nouveautés du jour, le E-50 (successeur du Panzer V), le E-75 (successeur du Panzer VI) et le E-90 ( Successeur du Panzer VII).
Je ne suis pas plus content de leurs articles que ceux produits hier et ils auront droit à une réécriture eux aussi. Pour ceux qui se poseraient des questions à son propos, je dirai que le E-90 n'a apparemment jamais été lancé sérieusement OTL (des doutes subsistent sur la réalité de son existence). FTL j'ai décidé de le faire exister et de lui donner une vraie place dans le programme des Entwicklung, à savoir remplaçant du Panzer VII (qui a été annulé OTL).
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Ven Aoû 14, 2009 11:27    Sujet du message: Répondre en citant

Attention, Caverne - toutes ces infos sont très intéressantes, mais il faut penser que si, en FTL, certains de ces programmes auront pu être lancés plus tôt (et il faut le justifier), beaucoup, et notamment les plus improbables, n'auront pas quitté la planche à dessin à la fin de la guerre en Europe.
Je pense qu'il faudrait opérer une certaine sélection parmi tous ces programmes en tenant compte de ces problèmes. Il ne faut conserver que ceux ayant pu aboutir, disons, avant le 30 septembre 44 (date purement indicative). Par exemple, il me semble que le Panzer VII FTL (le Tiger, en fait, puisque en FTL le V est le "Leopard" et le VI le Panther) n'aura pas le temps d'avoir un successeur (probablement pas de Konigstiger FTL).
Ce qui n'empêche, je le répète, que même OTL, tout ça est très intéressant !
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Casus Frankie

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Capitaine caverne



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MessagePosté le: Ven Aoû 14, 2009 12:34    Sujet du message: Répondre en citant

Casus Frankie a écrit:
Attention, Caverne - toutes ces infos sont très intéressantes, mais il faut penser que si, en FTL, certains de ces programmes auront pu être lancés plus tôt (et il faut le justifier), beaucoup, et notamment les plus improbables, n'auront pas quitté la planche à dessin à la fin de la guerre en Europe.
Je pense qu'il faudrait opérer une certaine sélection parmi tous ces programmes en tenant compte de ces problèmes. Il ne faut conserver que ceux ayant pu aboutir, disons, avant le 30 septembre 44 (date purement indicative).


Je suis d'accord sur le principe, d'ailleurs dans mon travail tous les modèles de la Serie E FTL n'arrivent pas à terme. Certains ont été annulés, d'autres sont incomplèts au moment de l'armistice. Et ma date "butoir" pour le coup d'arrèt était au 1er septembre, mais apparemment je peut gratter encore un mois. Quand au programme lui même, hormis le E-100 qui est "récupéré" après un bide de Krupp à la fin de décembre 1942, tous les autres démarrent au même moment car il sont issus OTL/FTL d'une même instance et d'une même décision prise en Mai de cette année là, même si l'accord officiel n'est intervenu qu'en avril 43 OTL (Octobre 42 FTL).
Il faut comprendre qu'historiquement les Series E ont été conçus en réaction aux constants problèmes de logistique et de maintenance posés par les blindés en service, ainsi qu'à la prise de conscience que le nombre (les blindés russes) annule en grande partie la qualité (les blindés allemands). Il faut lire l'article "le concept" dans le chapitre que je suis en train de rédiger. Il s'agissait (en gros) d'allier la supériorité technique des blindés allemands à une production véritablement industrielle en supprimant autant que possible les erreurs de conception et les problèmes de production.
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MessagePosté le: Sam Aoû 15, 2009 10:10    Sujet du message: Répondre en citant

Nouveauté du jour, le E-100, une bête de 140 tonnes équipé d'un canon de 175 mm capable de pulvériser n'importe quel char allié à des distances de quatre kilomètres et plus. Il utilise pour ce faire des obus perforants spéciaux de 71 kilos. Pour ceux qui auraient des doutes sur les performances de l'animal, je n'ai pas laissé vagabonder mon imagination, je me suis seulement servi des performances attendues du prototype OTL (qui n'a pas reçu sa tourelle et a été abandonné). Et la semaine prochaine, conclusion du chapitre et réécriture des articles sur les différents Types E.
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MessagePosté le: Lun Aoû 17, 2009 09:42    Sujet du message: Répondre en citant

Aujourd'hui, pas de nouveautés mais la réécriture partielle des articles sur les E-5, E-10 et E-25. J'ai amélioré autant que possible tout en restant raisonnable, du moins d'après moi. J'ai même réussi à trouver un débouché FTL pour le E-10 après guerre.
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MessagePosté le: Mer Aoû 19, 2009 09:42    Sujet du message: Répondre en citant

Nouveautés du jour, la fin du travail de réécriture sur les E-50, E-70, E-90 et E-100. J'ai amélioré le texte autant que possible, tout en restant raisonnable et en espérant que çà plaira. Demain, je tacherai de rédiger une première version de la conclusion du chapitre de Séries E, traitant principalement de son héritage, toujours présent aujourd'hui.
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MessagePosté le: Mer Aoû 19, 2009 17:16    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

concernant l'aviation il y a le magasine AERO de ce mois qui publie un bel article sur les armes secrètes.

bien a vous

JL
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MessagePosté le: Mer Aoû 19, 2009 17:56    Sujet du message: Répondre en citant

cestmoi a écrit:

concernant l'aviation il y a le magasine AERO de ce mois qui publie un bel article sur les armes secrètes.


Si tu parle du Hors-Série N°3 de l'Aéro Journal, je l'ai déjà! Mais merci quand même pour avoir voulu donner un coup de main.
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MessagePosté le: Jeu Aoû 20, 2009 09:44    Sujet du message: Répondre en citant

Nouveauté du jour, la conclusion du chapitre sur les EntwicklungTypen. Elle concorde bien avec le reste du texte, mais je n'en suis pas vraiment satisfait car je la trouve un peu trop brève et imprécise. Mais d'un autre côté si je me mettais à y parler de l'héritage technologique des Types E, je pourrai en faire toute une annexe.
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cestmoi



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MessagePosté le: Jeu Aoû 20, 2009 16:44    Sujet du message: Répondre en citant

http://www.tankmuseum.ru/

de jolies photos de certains chars expérimentaux de la 2GM



N38. Mine clearing vehicle. Rolling Mine exploder NK-101

N16. 60 cm Karl Morser German Heavy Assault Gun SU-600 "Tor"
http://www.tankmuseum.ru/p6.html
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