Fantasque Time Line

[Chasseur Corse]

si il est corps d'état qui paya le plus de victimes se son les pompiers, appartenant a la défense passive il intervenait lors des alertes et avec leur moyens qui était modeste dans les villes et villages de province(Pompe a bras, Camion citerne, Chaine Humaine) il démotrérent un courrage qui leur attira le respect des allemands(On levait les ordres d'interdiction a leur passage).

lors des bombardements il leur arrivée de portée secours sous les bombes et il ne souciaient pas de leur vie car pour eux l'essentiel était le sauvetage des victimes, qui était transportés par des ambulances vers les Hôpitaux ou on leur donnait les soins que nécessitait leur état.

les pays alliés avait des corps de pompier qui avait aussi le même courrage e particulier l'Angleterre ou il montrérent leur courage lors de l'incendie de Londres lors du Blitz, il faut dire qu'il était bien organisée, car tous les quartiers de la capitale avait une brigade auxiliaire de pompier(il y avait des détachements féminin dans certain quartier) et le service des ambulances était trés bien organisée(sa majesté la reine était conductrice Ambulanciére sous le nom de Elisabeht Marie Victoria Winsor).

pour l'Allemagne aussi ce corps était organisé en FeuherBrigade qui se montrérent d'un grand courrage(lors de l'inciendie de Hambourg un pompier filma avec sa caméra personnelle la lutte des pompiers).

sur le japon a ma connaissance c'etait des chaines humaines avec des sceau qui éteignait les incendis car je n'ai pas de renseignement sur les pompiers japonais.

quel est l'avis des membres.

Chasseur corse.

Ps: l'on peut voir la collextion des voitures des pompiers de paris a la caserne Masséna.
suite a des problémes de commandement les allemands tenteront la dissolution de ce corps mais il renaitra clandestinement sous le nom de "Sécurité Parisienne"
et il est de tradition chez les pompiers lors de l'appelle du matin lorsque l'officier dit un nom d'homme mort le chef de groupe rééponds "MORT AU FEU"

[Anaxagore]

Vers la fin de la guerre, le magasine "Signal" qui était un peu la voix de l'armée allemande, a raconté plusieurs sauvetage fort émouvants et réelement héroïque... on peut se demander ce que fichait ses témoignages dans un magasine qui jusque là racontait les victoires de l'armée allemande... sauf... qu'ils n'avaient plus de victoires à raconter. Ces articles - fort bien écris- encourageaient les volontaires à s'entraider pour lutter bénévolement contre les incendies, déblayer les décombres.... et haïr les "lâches" qui bombardaient les populations civils... oubliant étrangement que Signal avait publié des récits d'aviateurs de la Luftwaffe bombardant Londres.
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Ecoutez mon conseil : mariez-vous.
Si vous épousez une femme belle et douce, vous serez heureux... sinon, vous deviendrez un excellent philosophe.

[GAULLISTE 54]

En effet on ne parle pas suffisamment des pompiers en temps de guerre et pourtant...

La BSPP (alors Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris) n'a pas été dissoute pendant la SGM mais désarmée et la « Sécurité Parisienne » est le nom d'un groupement de résistance crée par des sapeurs-pompiers
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Toute ma vie je me suis fait une certaine idée de la France !
Charles de Gaulle


"Qui s'y frotte, s'y pique !"
Devise des Ducs de Lorraine

"Non inultus premor"-"Nul ne me touche sans impunité"
Devise de la Ville de Nancy

[Capu Rossu]

Bonsoir,
A Marseille, le Bataillon des Marins-Pompiers avait été sur le front des bombardements italiens, allemands et américains. Il avait aussi développé en son sin un réseau de résistance.
Lorsque les soldas allemands, à la veille de la bataille de Marseille en 08/1944, se présentèrent à la pore de la caserne de la Grande Bigue pour saborder le bateau-pompe Alerte, le pose de garde, prétextant son incompréhension de la langue de Goethe, parlementa quelques minutes avant de céder à la force. Ces minutes ne furent pas perdus par les autres marins-pompiers qui larguèrent les amarres du bateau-pompe. Ce dernier, poussé par une petite brise, dériva au milieu du bassin National truffé de mines sous-marines. Devant ce fait, le commando allemand, courageux mais pas téméraire, renonça à gagner l'Alerte pour le dynamiter. La chance continua à sourire au navire et il ne toucha aucune mine ni ne ramassa aucun obus durant les combats. Après ceux-ci, les marins-pompiers purent monter à bord et l'amarrèrent à la Grande Jetée en attendant que le nettoyage des mines permettent de le ramener à son poste près de leur caserne.
Pour Bordeaux, je conseille la lecture ou la relecture de "Commandos dans la Gironde" ou l'amiral Lepotier narre la manière dont les sapeurs pompiers de Bordeaux aggravèrent les dégâts subis par les forceurs de blocus sabotés tout en s'agitant avec grand zèle. Grand zèle qui leur valut les félicitations des autorités allemandes. Facétieux, le commandant du détachement fit faucher avec le jet d'une lance un groupe d'officiers italiens de Betasom en uniforme très "chamarré" puis s'excusa avant d’engueuler les "coupables" qui riaient sous cape.
@+
Alain