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Imberator
Inscrit le: 20 Mai 2014 Messages: 5605 Localisation: Régions tribales au sud-ouest de Nîmes.
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Posté le: Sam Juil 20, 2024 15:18 Sujet du message: |
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Casus Frankie a écrit: | Entre le moment où il envoie un message et celui où il pourrait être attaqué, il s'est écoulé des heures et il a parcouru des dizaines de nautiques. De plus, s'il a pris la précaution élémentaire d'envoyer son message, disons, deux heures avant la nuit, cela rallonge encore les délais.
Enfin, il se dirige vers "la maison" et se trouve à ce moment dans une partie de la Baltique où la Luftwaffe n'est plus la bienvenue. |
OK !
Du coup, quitte à étaler un peu plus mon ignorance, les U-boots faisaient-ils pareil ? _________________ Point ne feras de machine à l'esprit de l'homme semblable ! |
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demolitiondan
Inscrit le: 19 Sep 2016 Messages: 10158 Localisation: Salon-de-Provence - Grenoble - Paris
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Posté le: Sam Juil 20, 2024 15:28 Sujet du message: |
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Rapport régulier, comme au BDU allemand. Ceci étant, vous aurez compris que le S13 est un peu particulier - ce qui fait qu'on le suit dans la chrono. _________________ Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste |
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Monomaker
Inscrit le: 04 Juin 2023 Messages: 96 Localisation: Nantes
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 01:59 Sujet du message: |
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Casus Frankie a écrit: | 27 juin (1/3)
Mer Baltique
Loups rouges
Kronstadt
Il est vrai qu’avec le retour d’un temps estival, les derniers perfectionnements de l’arme anti-sous-marine allemande – avec les Kanonenboot 1941, qui disposent parfois d’un hélicoptère (!) pour le repérage des cibles – ont fait du mal en Baltique, |
plutôt le Kanonenboot 1941 parce que selon l'annexe D B2 :
Citation: | Ce fut le chantier Schichau GmbH, à Elbing, en Prusse Orientale, qui fut sélectionné pour la construction du Kanonenboot 1941. Ce chantier produisait jusque-là des torpilleurs à un rythme assez soutenu. Le nouveau navire était d’un tonnage comparable, mais moins complexe à construire. Sur 24 exemplaires commandés, dix furent mis sur cale, mais seuls sept furent lancés. Trois furent mis en service au sein de la Kriegsmarine, mais un seul, le K-5, fut réellement utilisé en opérations. |
on peut plutôt parler des Geleitboot 1941 ou si la mention des hélicoptères tient à cœur, on peut parler des Schnelles Geleitboot, les ravitailleurs d'hydravions français de classe Sans Souci saisis en 1940 et modifiés ensuite. |
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Casus Frankie Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 14087 Localisation: Paris
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 07:16 Sujet du message: |
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Désolé, j'ai été trop paresseux pour vérifier.
Je corrige dans le texte. _________________ Casus Frankie
"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire) |
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Casus Frankie Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 14087 Localisation: Paris
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 07:31 Sujet du message: |
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27 juin (2/3)
Entre Vistule et Silésie – 3e Front d’Ukraine – Le trio 5e Armée (Mikhail Potapov), 9e Armée de la Garde (Nikolai Pukhov) et 3e Corps Aéroporté (Vasily Glazunov) continue de progresser vers l’ouest – et en accélérant ! – pour s’emparer de Chmielnik et Busko-Zdrój et s’avancer vers la Nida à Pińczów. Ce qui met d’ailleurs singulièrement en danger le flanc sud des défenses de Keltz, plus encore que Katukov ne le fait déjà au nord. Dans ce secteur, il n’est pratiquement plus de défenseurs… La 3. SS-Panzer Totenkopf (Hermann Priess) court désormais vers Zawiercie – moins pour défendre Katowice dans le cadre d’une improbable future contre-offensive venue de Silésie que pour barrer la route vers Częstochowa, au moins dans un premier temps. Et Koniev, qui s’en est aperçu, bombarde Moscou de messages réclamant qu’on étende son champ d’action !
Autour de Katowice, la 4e Armée de Chars (Dimitri Lelioushenko) continue de manœuvrer vers Gliwice – comptant sans doute encercler la cité au bénéfice de la 4e Armée de Choc (Ivan Maslennikov), qui commence de son côté à entrer en ville par Dąbrowa Górnicza, sans oublier d’envoyer des pointes vers Bytom. Si on s’en réfère strictement aux ordres de bataille, Katowice n’est pas défendue. En fait, une dizaine de milliers de combattants s’y trouvent. Car la ville est censée être devenue allemande – Kattowitz ! – depuis 1939, et elle fait partie du Gau de Haute-Silésie. Mais ses défenseurs ne sont pas véritablement organisés et les destructions prévues pour Cracovie n’ont pas été planifiées – puisqu’il s’agit d’une ville du Reich ! Ainsi donc, la situation dégénère vite en combats urbains, donc en une succession d’engagements d’infanterie, avec recours systématique aux blindés T-34 ou T-60 pour réduire les défenseurs. Pénible… Mais pas mortel. Et sans intérêt, surtout, pour Grossman, qui part vers Varsovie. La cité, ou ce qui en reste, l’attire : il sent bien qu’il lui faut la voir de ses yeux au moins une fois pour témoigner de l’état dans lequel l’a laissé le Reich.
Quant à la 1ère Armée de Chars de la Garde (Sergei Bogdanov), elle est désormais… officiellement en retard, la faute au terrain comme à ses (relativement) plus nombreux adversaires. Elle passe la Skawa à Zator, en recourant à des techniques pour le moins improvisées ! Un site de passage à gué est d’abord établi avec des balises et des approches signalées. Les tuyaux d’échappement des chars sont ensuite prolongés et dirigés vers le haut à l’aide de tuyaux en toile. Les écoutilles et les fentes sont fermées, bouchées et calfeutrées avec de la graisse – l’air pouvant pénétrer dans le char par les écoutilles situées au sommet de la tourelle. Et enfin, le T-34 roule au fond de la rivière, l’eau arrivant à ras de la tourelle ! Avec cette méthode, Bogdanov gagne beaucoup de temps : avant la nuit, il est à Oświęcim, occupé à passer la Soła – les sapeurs ont deux heures d’avance, c’est bien ! Mais il va aussi devoir gérer de sinistres découvertes, auxquelles il ne s’attendait sans doute pas…
Shoah – La cendre et les morts
Oświęcim (au sud de Katowice) – Pendant que la 1ère Armée de Chars de la Garde (Sergei Bogdanov) est occupée à passer la Skawa, une unité fait un détour, à la demande expresse du commandement. Il s’agit d’un détachement de la 2e Compagnie de fusiliers – 2e Bataillon de fusiliers motorisés, 6e Brigade mécanisée de la Garde – sous le commandement du lieutenant Nikolaï Pavlovitch Evsyukov. Ce dernier s’est vu confier un guide… français, Raphaël Feigelson. Ce dernier ne doit sa relative importance actuelle qu’au fait qu’il soit tombé la veille sur un officier soviétique parlant le yiddish…
Bref ! A grand renfort de gestes, Feigelson conduit Evsyukov et ses fusiliers sur des routes minées sentant l’embuscade, par un petit village nommé Brzezinka et jusqu’à l’entrée d’une plaine triste et sale. Evsyukov est de mauvaise humeur : depuis le début de l’opération Oder, il a perdu un bon quart de ses hommes dans divers accrochages et embuscades. Ça ne sera pas pire aujourd’hui – alors pourquoi se presser ?
Curieux… Il flotte dans les environs comme une odeur de cendres… Et voici que s’ouvre devant eux un vaste espace entouré d’une clôture qu’on indique électrifiée, avec un mirador de bois tous les 125 mètres exactement (les nazis aiment à être précis) et, surplombant une voie ferrée, un porche monumental porteur d’une maxime orgueilleuse (ou cynique) : « Arbeit macht Frei ». Après avoir fait déminer les approches malgré des tirs qu’on fait taire à coups de 76 mm, Evsyukov ouvre personnellement le portail…
Le camp ne résiste guère. Il ne reste sur place que quelques dizaines de gardes, pour la plupart des auxiliaires, les uns Ostruppen, les autres étrangers engagés dans la Waffen-SS, que leurs chefs ont négligé de prévenir de leur fuite. La plupart se rendent une fois le périmètre forcé.
A 15 heures, Auschwitz est considéré comme sécurisé. Reste l’inventaire humain. On dénombre déjà – environ – dix mille… cadavres ambulants. Et 650 corps dans les ruelles entre les baraques, pour la plupart, semble-t-il des femmes mortes d’épuisement, ou abattues au sol faute d’avoir pu marcher…
Sud de la Pologne – 3e Front d’Ukraine – La 5e Armée de Choc (Ivan Chernyakovsky), pour sa part, continue de nettoyer Cracovie, traversant la cité vers l’ouest en direction de Balice pour s’y rallier, sans oublier de piller un peu en chemin tout ce que les Allemands ont pu oublier. Quant au 7e Corps Mécanisé (Ivan Tutarinov), il achève de rabattre sur l’arrière de Lelioushenko – donc de faire détruire – la 4. Luftwaffen-Feld-Division (Hans Sauerbrey) et le 210. StuG Abt (Major Herbert Sichelschmidt), dont les chefs fuient à travers les lignes encore lâches, entourés de quelques débris.
Enfin, sur la droite allemande, ce qui reste de la 6. Armee (Erhard Raus) approche dans la soirée de Bielsko-Biala. Trop tard pour “Kattowitz”, mais encore assez tôt pour espérer défendre Ostrava. Derrière, la 65e Armée (Ivan Boldine) et le 2e Corps de Cavalerie (Andrei Selivanov) suivent toujours, harcèlent parfois et enlèvent nombre de localités en capturant beaucoup de retardataires.
La Hongrie, coûte que coûte
Après Schwabenwall – La course au Danube
8. Armee, Galicie, Hongrie et Slovaquie – Le XLIX. ArmeeKorps (Rudolf Konrad) est désormais bien entré en Hongrie – enfin, celle d’avant 1941. Il glsse ainsi de Beregszász [Berehove] à Kisvárda, pour passer la Tisa à Tiszakanyár sur ce qu’il reste du Rákóczi Ferenc Tisza-híd.
Sur la droite, le IX. ArmeeKorps (Heinrich Clößner) et le XXVII. ArmeeKorps (Paul Völckers) traversent Trebišov et avancent le long de cette même Tisa en direction de Sárospatak. Ils laissent donc Košice sur leur arrière droit pour contourner le saillant soviétique de Prešov comme les massifs du Zempléni. Miskolc n’est plus si loin… 70 kilomètres à peine. Mais de gros embouteillages y sont à prévoir.
Il semble tout aussi inévitable qu’une fois que la 8. Armee aura atteint ce premier objectif, l’ensemble des défenseurs déployés face à l’ex-opération Dukla-Carpates entament à leur tour une vague de repli. La 218. ID de Viktor Lang commence même déjà à se désengager de Michalovce, direction Trebišov justement ! Avant que les Slaves déferlent sur elle – la 26e Armée de Lev Skvirsky arrive à Uzhhorod et Khust serait tombée, tout comme Sighetu Marmației !
1ère Armée hongroise, région de Debrecen – La déroute hongroise traverse Érmihályfalva (Valea-lui-Mihai) et poursuit sans s’arrêter en direction de Debrecen. C’est une horde toujours plus nombreuse d’unités désorganisées, de réfugiés transportant leur vie dans des charrettes et de déserteurs en loques. Cette foule subit de régulières frappes des VVS, mais elle n’a fort heureusement plus aucun obstacle sérieux devant elle, ni de poursuivants – d’ailleurs, on s’approche des positions des blindés allemands…
Heeresgruppe B, région de Debrecen – Après la 19. Panzer (Hans Källner) et le 502. schw. Pz Abt (Major Horst Richter-Rethwisch), c’est au tour des premiers éléments de la 17. Panzer (Karl-Friedrich von der Meden) et de la 11. Panzer (Wend von Wietersheim) d’arriver en ville, avec les débris d’une 1ère DI hongroise (Gusztáv Deseö) qui n’intéresse personne.
Une fois encore, pour une nouvelle action décisive qui permettra à coup sûr d’arrêter l’ennemi, la Heer vient de concentrer l’équivalent théorique d’un corps blindé. Théorique, parce que dans les faits, ces trois divisions ne dépassent pas les cent engins opérationnels, soit la valeur d’une seule Panzer-Division de 1942 ! Il va pourtant falloir faire avec.
De son nouveau QG de Bratislava (hé oui…), Gotthard Heinrici a une vision paradoxalement claire de la situation. Sur le flanc gauche, Schwabenwall a été… paradoxalement efficace : au moins, les Rouges ne poursuivent plus vraiment. Par contre, sur le flanc droit, c’est toujours la catastrophe ! La disparition de la 17. Armee – dont les restes courent se réfugier dans les petites jupes du HG E ! – met en péril la retraite de la 11. Armee de Reinhardt. Or, celle-ci est d’une importance vitale, tout amoindrie et fatiguée qu’elle soit. Si les Rouges remontent depuis Timișoara pour la disperser en plaine avant qu’elle n’ait atteint – au moins – la Tisa, le HG B n’aura presque plus rien pour défendre la Slovaquie et la Bohême-Moravie.
Il faut donc que Reinhardt s’en sorte. Quitte à frapper de flanc le fort ennemi, quand ce dernier ne s’y attend pas. Et Heinrici d’esquisser le concept d’une frappe de Debrecen vers Békéscsaba, avant de le soumettre à Kluge pour approbation formelle.
………
Réserve du HG B, Transylvanie – En conséquence logique du repli pratiquement achevé des forces blindées allemandes, les derniers retardataires du secteur – la 13. Panzer (Helmutt von der Chevallerie) et le 560. schw. PzJ. Abt (Major Rudolf Markowz) – abandonnent leurs ultimes positions d’Élesd (Aleșd, Alešď) pour se retirer vers Oradea puis Debrecen. La porte de la plaine magyare est désormais complètement ouverte.
2e Front Ukrainien, Roumanie libérée – Pendant ce temps, à Cluj-Napoca, Ivan Bagramian considère avec satisfaction ses troupes qui reprennent des couleurs. Et il suit également, avec un peu plus de réserve, la progression de Fiodor Tolboukhine, voire d’Ivan Petrov (!)…
Le général a eu Moscou tout à l’heure au téléphone – sa promotion au maréchalat est actée, elle est même imminente ! Et Cluj-Debrecen a pratiquement atteint ses objectifs – pratiquement. Alors, pourquoi ne pas insister, en reprenant son avance ?
………
Des Roumains chez les Soviets
Le bal des maudits – « Après les très rudes et si tristes combats de la veille, nous goûtons à nouveau au plus modeste triomphe de la libération des terres roumaines face à l’oppresseur germano-magyar. Alba Iulia était une ville de paix et d’amour. Les monts Apuseni sont une belle balade à travers les reliefs et les forêts, au creux d’une nature qui nous enchante et que ne trouble guère que le tir isolé d’un sniper ou l’explosion d’une mine. La division est fatiguée, la division est usée – mais la division est soutenue, la division est heureuse. Pas étonnant que nos ancêtres se soient acharnés à rester ici, en dépit de tous les outrages (4).
Que nos amis soviétiques nous pardonnent, mais il me vient un air très connu de nos parents : “Treceți, batalioane române, Carpații…” » (5)
(Adieu mon pays… encore une fois, Vasil Gravil, Gallimard 1957)
11. Armee, monts Apuseni – Les deux colonnes de la 11. Armee sortent enfin des monts, en passant l’une par le col de Vârfurile, l’autre par la petite ville de Sebiș. Deux masses sans véritable valeur combative… Il leur reste respectivement 50 et 60 kilomètres pour rejoindre les villes d’Oradea et de Gyula. De là, il faudra ensuite traverser la grande plaine jusqu’au Danube.
Derrière, la 14e Armée soviétique (Valerian Frolov) est au col de Vârfurile tandis que les Roumains et la 9e Armée de Vasily Glagolev se répandent dans le cœur des reliefs. Ils mettront sans doute au moins trois jours à les traverser.
17. Armee, Banat et Hongrie – Alexander Shamshin a fini de contourner les Yougoslaves en passant par Igriș. Il tente désormais de rattraper son retard en fonçant vers Hódmezővásárhely, couvert sur sa droite par le 3e Corps Blindé de la Garde (Mikhaïl Panov), qui avance à hauteur de Mezőkovácsháza (direction Orosháza), et la 18e Armée d’Andrei Gretchko, qui se déploie toujours dans le secteur d’Arad. Le Soviétique harangue ses troupes sans ambiguïté : « Les fascistes sont en fuite et le terrain magnifique. Pourquoi ne pas insister ? Il faut insister ! Le triomphe est là, maintenant, devant nos yeux, jusqu’au Danube au moins ! Toujours l’initiative ! Toujours le courage ! »
Pendant ce temps, derrière, la masse des trois armées de Tolboukhine – 14e Armée (Valerian Frolov), 6e Armée de la Garde (Pavel Batov) et 62e Armée (Vladimir Kolpakchi) – progresse désormais sur un large front depuis Lugoj. Les premiers éléments de Batov entreront pour la gloire dans Timișoara en fin d’après-midi…
Notes
4- Sur ce territoire soumis depuis longtemps à une domination allemande et hongroise (catholique), en dépit d’une population majoritairement valaque, les habitants roumanophones (orthodoxes) avaient pris l’habitude de construire leurs villages en bois – un matériau sacrifiable – pour fuir lors des régulières razzias. Par contre, les châteaux-forts des maîtres étaient bien évidemment en pierre.
5- Chanson patriotique de 1918 sur la reconquête de la Transylvanie face aux Hongrois : « Traversez, Bataillons roumains, les Carpates ! Aux armes avec des feuilles et des fleurs, la victoire vous attend, les frères vous attendent aussi, avec le cœur des passants ! » |
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ChtiJef
Inscrit le: 04 Mai 2014 Messages: 2793 Localisation: Agde-sur-Hérault
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 09:11 Sujet du message: |
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Citation: | Autour de Katowice, la 4e Armée de Chars (Dimitri Lelioushenko) continue de manœuvrer vers Gliwice [...] Katowice n’est pas défendue. [...] Car la ville est censée être devenue allemande – Kattowitz ! – depuis 1939, et elle fait partie du Gau de Haute-Silésie. |
Si Katowice est Kattowitz depuis 1939, Gleiwtiz, n'est en 1944, pas encore Gliwice.... _________________ "Les armes ne doivent pas être utilisées dans des guerres" - Alain Berset, président de la Confédération helvétique |
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loic Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 9394 Localisation: Toulouse (à peu près)
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 09:38 Sujet du message: |
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Les 4 Schnelles Geleitboot saisis dans les chantiers français restent sur la côte atlantique. _________________ On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ... |
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loic Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 9394 Localisation: Toulouse (à peu près)
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 09:54 Sujet du message: |
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Répétition :
Citation: | De son nouveau QG de Bratislava (hé oui…), Gotthard Heinrici a une vision paradoxalement claire de la situation. Sur le flanc gauche, Schwabenwall a été… paradoxalement efficace |
Citation: | avec recours systématique aux blindés T-34 ou T-60 |
Concernant le T-60, il semble que ce char léger (amphibie) soit différent du char OTL (qui n'était pas amphibie et a été produit à partie de 1941) et il n'arrive qu'en 1944. Du coup, il y a deux mentions qui ne collent pas :
- Annexe 1943 (D Z6) - L’arme blindée hongroise dans la Seconde Guerre Mondiale : 2
- Mars 1944 - 8 - Pays occupés (1-10) : 1 _________________ On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ... |
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loic Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 9394 Localisation: Toulouse (à peu près)
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 10:02 Sujet du message: |
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Au stade où on en est, l'évacuation par la mer de la Prusse Orientale doit être en cours. Sans critiquer la travail de demodan, il manque de l'action navale. Des volontaires ? _________________ On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ... |
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demolitiondan
Inscrit le: 19 Sep 2016 Messages: 10158 Localisation: Salon-de-Provence - Grenoble - Paris
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 10:12 Sujet du message: |
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Et pourquoi donc Loic ? Aucune raison. La liaison maritime n'est pas coupée et La prusse est une terre du Reich. _________________ Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste |
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Wings
Inscrit le: 11 Mar 2022 Messages: 545 Localisation: U.S.A
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 10:50 Sujet du message: |
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Govorovo = Blausden
Rudakovo = Ruddecken
Kalininskoe = Hochfließ
Pogorzel = Hegelingen
Kowale Oleckie = Reimannswalde _________________ "It takes the Navy three years to build a ship. It will take three hundred years to build a new tradition. The evacuation will continue." Sir Andrew Cunningham, Mai 1941
"Let me soar! [...] I need no great host, just [Tyene]" - Nymeria Sand, AFFC II |
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FREGATON
Inscrit le: 06 Avr 2007 Messages: 4352 Localisation: La Baule
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 10:56 Sujet du message: |
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demolitiondan a écrit: | Et pourquoi donc Loic ? Aucune raison. La liaison maritime n'est pas coupée et La prusse est une terre du Reich. |
Pour montrer que j'essaye de suivre: c'est la liaison terrestre qui n'est pas coupée non? Ce qui, je présume, évite une opération maritime de grande envergure comme OTL. Ceci dit il doit toujours y avoir du trafic maritime dans la zone et possiblement des cibles pour le S-13... ?? _________________ La guerre virtuelle est une affaire trop sérieuse pour la laisser aux civils. |
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demolitiondan
Inscrit le: 19 Sep 2016 Messages: 10158 Localisation: Salon-de-Provence - Grenoble - Paris
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 10:58 Sujet du message: |
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Terrestre oui. Et bien, ca va venir. Ce n'est pas pour rien que je fais du Teasing; _________________ Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste |
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FREGATON
Inscrit le: 06 Avr 2007 Messages: 4352 Localisation: La Baule
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 11:15 Sujet du message: |
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demolitiondan a écrit: | Ce n'est pas pour rien que je fais du Teasing; |
Voui... Bon, mais pour que le rollmops reste digeste il ne faut pas que le hareng de la Baltique soit trop engraissé au prussien... _________________ La guerre virtuelle est une affaire trop sérieuse pour la laisser aux civils. |
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loic Administrateur - Site Admin
Inscrit le: 16 Oct 2006 Messages: 9394 Localisation: Toulouse (à peu près)
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Posté le: Dim Juil 21, 2024 11:51 Sujet du message: |
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OTL, l'évacuation n'a pas attendu que la liaison terrestre avec Prusse Orientale soit coupée.
Il y a eu d'abord la fuite des civils suite aux rumeurs d'atrocités commises par l'Armée Rouge plus à l'est. Voir en particulier le massacre de Nemmersdorf, comprenant des PG français et belges.
Le volet militaire est l'opération Hannibal.
Planifiée dès la fin 1944, dans le dos d'Hitler qui ne voulait pas en entendre parler, elle a commencé en janvier 45, la situation sur le terrain était celle-ci (probablement pas très différence en juin 44 FTL (la poche de Courlande et certaines pointes russes mis à part) :
_________________ On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ... |
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