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1940 - La France continue la guerre
 
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Diplomatie et Guerre secrète, Mai 1944
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Dim Jan 15, 2023 12:38    Sujet du message: Répondre en citant

La seule référence, ce sont les Archives.
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Casus Frankie

"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire)
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Wings



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MessagePosté le: Dim Jan 15, 2023 12:56    Sujet du message: Répondre en citant

demolitiondan a écrit:
À mon avis tu devrais attendre la mise à jour des PDF

Trop long. Je ferais sans.
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Dim Fév 19, 2023 13:26    Sujet du message: Répondre en citant

Merci à TYLER pour cette excursion espagnole.

18 mai
¡ Viva España !
Des Anglais bien embarrassés
Londres
– Le succès foudroyant d’Overlord a agréablement surpris tout le monde. Les bookmakers londoniens ont même lancé un nouveau pari : le Rhin sera-t-il atteint avant la fin du mois de mai ? Evidemment couplé au traditionnel : la guerre sera-t-elle finie pour Noël ? Deux questions qui ont de quoi faire se vider bien des portefeuilles et faire fantasmer beaucoup de monde, tant à l’arrière que sur le front…
Lors de la réunion du War Cabinet, Anthony Eden a un peu de mal à retenir l’attention des autres participants. Autour de la table, que préside évidemment le Premier ministre Winston Churchill, se tiennent les habitués : le vice-Premier ministre Clement Attlee, le Chancelier de l’Échiquier (équivalent du ministre du Trésor) Sir John Anderson, le secrétaire d’Etat à l’Intérieur Herbert Morrisson, le ministre du Travail Ernest Bevin, le ministre de la Reconstruction Lord Woolton et enfin le ministre de la Production Oliver Lyttelton. Se sont joints à eux pour cette réunion le numéro 2 des Affaires Étrangères Sir Alexander Cadogan (tout juste rentré de la conférence de Dumberton Oaks) et le ministre de l’Économie de guerre Lord Selborne.
L’Espagne, sujet assez peu évoqué, arrive en dernier. Certains membres du War Cabinet s’étonnent même qu’il en soit question. « L’Espagne a vu la lumière et a rejoint les Nations Unies ? » demande innocemment une voix anonyme. L’assistance commence à pouffer et à disperser son attention, mais Eden reprend la balle au bond : "Non. Mais il s’agit bien de la place qu’accorderont les Nations Unies à l’Espagne dans le concert des nations après la guerre."
L’attention est quelque peu captée. Eden peut donc parler du message transmis par le duc d’Albe quelques jours plus tôt sur la virilité des nations européennes. Quelques rires précèdent des réactions plus élaborées. L’un fait mention de la « triple guerre » chère à Franco, qui des années après fait toujours autant rire. L’autre évoque la virilité des différentes nations en termes qui, quelques années plus tard, seraient à coup sûr qualifiés de racistes et sexistes, ou au moins de déplacés dans une enceinte officielle. Ces plaisanteries passées, Eden reprend le sujet que lui seul semble aujourd’hui trouver important.
– Quelle réponse donnons-nous à ce surprenant message de Franco ? Et surtout, maintenant qu’elle est totalement isolée de l’Allemagne, qu’allons-nous faire de l’Espagne ? Le régime franquiste a collaboré avec les Allemands pendant une bonne partie de la guerre. Il n’a cessé de commercer avec eux, leur vendant notamment du tungstène si précieux pour l’industrie de guerre, qu’à la suite de deux embargos décidés par les Américains et nous-mêmes. Mais depuis, les Américains semblent se soucier de l’Espagne autant que de la Yougoslavie. Quant aux Français, ils maintiendront les unités espagnoles de leur Légion Étrangère aussi loin que possible de la frontière des Pyrénées – il ne manquerait plus qu’ils lancent une Reconquista depuis le Val d’Aran ! Mais Negrin est toujours hébergé par leur gouvernement et Léon Blum semble beaucoup l’apprécier. Cependant, les Français sont évidemment focalisés sur la libération de leur territoire et semblent vouloir ménager la chèvre républicaine et le chou franquiste tant que la guerre contre l’Allemagne n’est pas terminée. Ma question est la suivante, Gentlemen : et nous, que faisons-nous ?
– Un régime fasciste pourrait-il continuer à exister en Europe après la guerre ? Ce serait scandaleux,
s’insurge Attlee, leader de l’opposition de Sa Majesté, anti-franquiste et pro-républicain convaincu.
– Un régime officiellement reconnu par nos services diplomatiques, néanmoins ! tempère Bevin, ce qui ne manque pas de faire sourire les Conservateurs présents, Bevin et Attlee étant tous deux Travaillistes.
– Quoi qu’il en soit, sanctionner Franco, peut-être… Mais pour quoi faire ? demande Cadogan d’un ton faussement neutre, alors qu’il a son idée bien arrêtée sur la question et compte bien profiter de l’occasion pour faire entendre son opinion, dût-elle s’opposer à celle de son supérieur, Eden.
– Il ne faut pas confondre soutenir le remplacement de Franco et déclencher une nouvelle guerre civile. D’autant plus que nos rapports commerciaux avec l’Espagne sont assez bons ces derniers temps… Et largement à notre avantage ! rappelle Anderson.
– L’opposition à Franco est profondément désorganisée. Cinq ans après la fin de la guerre, ils sont toujours aussi désunis ! Il y a le Comité Barrio-Prieto au Mexique, le gouvernement de Negrin à Marseille – où seul Negrin est encore actif – et puis la résistance communiste en Espagne… et à Moscou ! Et puis il y a un prétendant à la couronne bien mollasson – pour ne pas dire que c’est une véritable girouette qui ne s’anime que quand le vent souffle d’un côté ou de l’autre, résume Cadogan.
– Un retour à la monarchie pourrait être intéressant, répond Eden en fixant Cadogan. Même si ce n’est pas au Royaume-Uni de décider à la place des autres pays quel système politique doit s’appliquer chez eux. Mais nous ne cessons de discuter, le Premier ministre et moi, avec messieurs Roosevelt et De Gaulle, sur les principes et idéaux qui devront animer le concert des nations en Europe. Et dans les conditions actuelles, il est certain que l’Espagne ne pourrait pas en faire partie.
– Certes. Mais après la guerre, l’état économique de notre continent en ruines sera catastrophique,
réagit Cadogan, qui semble lancé dans un véritable duel avec son supérieur. Regardez Salonique ! Belgrade ! Lyon ! Et qui sait Paris ? Nous ne pourrons nous offrir le luxe de sanctions économiques prises à des fins purement politiques !
– J’attire votre attention, Gentlemen, sur le fait que des sanctions économiques contre Franco, en plus d’être désastreuses pour notre économie, seraient assez injustes. Sans doute, ce régime a commis des atrocités. Mais bien moins horribles que celles commises par ceux qui l’ont précédé au pouvoir en Espagne,
commente Lord Selborne.
Attlee manquant de s’étouffer, Selborne conclut sa sortie en lançant : « La non-belligérance espagnole en 1940 nous a épargné bien des tourments et nous devrions en être grandement reconnaissants à Mr Franco. »
Il est temps que Churchill s’exprime : « Gentlemen, il ne s’agit pas de faire un cours d’histoire ni de fantasmer sur ce qui aurait pu se passer… Nous ne sommes pas là pour ça. Nous sommes là pour parler du présent et surtout de l’avenir de l’Espagne. Il faut lancer un avertissement à Franco, mais à quel point cet avertissement doit-il être sévère ? Et que faire si Franco n’en tient pas compte ? Par bonheur, les Français gardent pour le moment leurs Espagnols loin de l’Espagne, ce qui nous épargne une guerre pyrénéenne qui rendrait la situation dans le Sud-Ouest de la France et en Catalogne totalement incontrôlable, mais qu’en sera-t-il après la victoire sur l’Allemagne ? Je vous écoute depuis tout à l’heure parler de la raison qui primerait sur l’idéologie. Ce genre de propos est courant, je les ai entendus dans d’autres bouches, et il est vrai qu’ils sont très mesurés. Mais si, il y a quatre ans, nous avions tous, Anglais et Français, fait primer ce qui semblait être la raison, nous ne serions pas à l’heure qu’il est assis autour de cette table. Vous parlez de raison et d’idéologie ? Laissez-moi vous rappeler ce qui s’est passé en Bulgarie il n’y a pas si longtemps. Il était raisonnable de ne pas mettre à mal le ravitaillement de nos armées pour se précipiter à Sofia, car leur cible était Berlin et non Sofia. Mais désormais, il n’y a plus de royaume de Bulgarie et l’idéologie qui anime ceux qui sont au pouvoir actuellement est bien différente de celle de ceux qui nous avaient appelés à l’aide. Mon intime conviction est que les tendances politiques espagnoles sont nombreuses, mais que les extrémités de ce spectre ne sont souhaitables ni pour l’Espagne, ni pour l’Europe, ni pour le Royaume-Uni. A droite, le régime de Franco a soutenu nos ennemis, sans les rejoindre certes, mais en leur facilitant la tâche et son l’idéologie est proche de la leur. Mais à gauche, la Révolution communiste guette ! Car un retour de Negrin au pouvoir entraînerait une nouvelle guerre civile. Et je ne souhaite pas voir l’Espagne basculer dans un camp où des pays raisonnables et mesurés sont déjà tombés et dont ils n’auront pas la possibilité de s’échapper. Entre les deux, il y a la monarchie. Une monarchie équilibrée et tolérante, bien entendu, qui saurait préparer un retour harmonieux à la démocratie dans ce pays. »
Après cette conclusion quelque peu lyrique, Churchill reprend son souffle.
– Nous pourrions mener des actions concertées avec les États-Unis et la France, avance Attlee.
– Si Franco ne répond pas à notre avertissement, nous pourrions aller jusqu’à un embargo pétrolier de longue… très longue durée, propose Eden.
– Comme le Premier ministre l’a si bien expliqué, la politique espagnole s’étend sur un large spectre. Il faut faire attention à ne pas trop favoriser un camp pour ne pas déstabiliser l’ensemble et pour endiguer toute résurgence trop extrême, rétorque Bevin.
– Il va sans dire que le communiqué, appelons-le l’avertissement, que Sir Anthony et moi allons rédiger et qui sera envoyé à Mister Franco devra être validé par ce War Cabinet, conclut Churchill.
Le Premier ministre et son ministre des Affaires étrangères échangent un regard lourd de sens mais presque complice. Ils ont bien compris qu’ils allaient devoir marcher sur des œufs pour avoir l’approbation du War Cabinet…
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demolitiondan



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MessagePosté le: Dim Fév 19, 2023 13:51    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Mais depuis, les Américains semblent se soucier de l’Espagne autant que de la Yougoslavie.


Huhuhu !

Citation:
Quant aux Français, ils maintiendront les unités espagnoles de leur Légion Étrangère aussi loin que possible de la frontière des Pyrénées – il ne manquerait plus qu’ils lancent une Reconquista depuis le Val d’Aran !


Huhuhu ! (bis)

Citation:
Un retour à la monarchie pourrait être intéressant, répond Eden en fixant Cadogan. Même si ce n’est pas au Royaume-Uni de décider à la place des autres pays quel système politique doit s’appliquer chez eux. Mais nous ne cessons de discuter, le Premier ministre et moi, avec messieurs Roosevelt et De Gaulle, sur les principes et idéaux qui devront animer le concert des nations en Europe. Et dans les conditions actuelles, il est certain que l’Espagne ne pourrait pas en faire partie.


Ter !

Citation:
– J’attire votre attention, Gentlemen, sur le fait que des sanctions économiques contre Franco, en plus d’être désastreuses pour notre économie, seraient assez injustes. Sans doute, ce régime a commis des atrocités. Mais bien moins horribles que celles commises par ceux qui l’ont précédé au pouvoir en Espagne, commente Lord Selborne


Tout ceci me rappelle hélas un truc !

Citation:
Attlee manquant de s’étouffer, Selborne conclut sa sortie en lançant : « La non-belligérance espagnole en 1940 nous a épargné bien des tourments et nous devrions en être grandement reconnaissants à Mr Franco. »


Ah ben si même en interne, on s'y met à faire des références ...

Tout ceci est bien cohérent avec ma propre vision de la politique britannique. Je m'en réjouis.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste
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John92



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MessagePosté le: Dim Fév 19, 2023 15:16    Sujet du message: Répondre en citant

...
Se sont joints à eux pour cette réunion le numéro 2 des Affaires Étrangères Sir Alexander Cadogan (peut-être précisé que c’est l’adjoint d’Eden) (tout juste rentré de la conférence de Dumberton Oaks) et le ministre de l’Économie de guerre Lord Selborne.
...
L’assistance commence à pouffer et à disperser son attention , mais Eden reprend la balle au bond : "Non. Mais il s’agit bien de la place qu’accorderont les Nations Unies à l’Espagne dans le concert des nations après la guerre."
L’attention est quelque peu captée. Eden peut donc parler du message transmis par le duc d’Albe quelques jours plus tôt sur la virilité des nations européennes. Quelques rires (voir infra pour la répétition ; de plus : des gentlemen anglais rirent ? Allons donc, au mieux, ils sourient ) précèdent des réactions plus élaborées. L’un fait mention de la « triple guerre » chère à Franco, qui des années après fait toujours autant rire (cf supra). L’autre évoque la virilité (référence – inopportune (déplacée étant utilisé plus loin) ?? - à la virilité ?) des différentes nations en termes qui, quelques années plus tard, seraient à coup sûr qualifiés de racistes (pourquoi raciste en référence à la virilité, sexistes oui, racistes non, rien à voir – de mon humble opinion - ) et sexistes, ou au moins de déplacés dans une enceinte officielle.
...
Il n’a cessé de commercer avec eux, leur vendant notamment du tungstène si précieux pour l’industrie de guerre, qu’à la suite de (en violation des ?? ) deux embargos décidés par les Américains et nous-mêmes. Mais depuis, les Américains semblent se soucier de l’Espagne autant que de la Yougoslavie. Quant aux Français , ils maintiendront les unités espagnoles de leur Légion Étrangère aussi loin que possible de la frontière des Pyrénées – il ne manquerait plus qu’ils lancent une Reconquista depuis le Val d’Aran ! Mais Negrin est toujours hébergé par leur gouvernement et Léon Blum semble beaucoup l’apprécier. Cependant, les Français (Continentaux ?? ) sont évidemment focalisés ...
...
Et puis il y a un prétendant à la couronne bien mollasson – pour ne pas dire que c’est une véritable girouette qui ne s’anime que quand le vent souffle d’un côté ou de l’autre , (pourquoi une virgule ?)[/i] résume Cadogan.
...
Sans doute, ce régime a commis des atrocités. Mais bien moins horribles que celles commises (employions les grands mots, vu que ce Mr est dans la surenchère : perpétrées ?) par ceux qui l’ont précédé au pouvoir en Espagne, [/i] commente Lord Selborne.
...
... mais en leur facilitant la tâche et son l’idéologie (idéologie) est proche de la leur.
...
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Dim Fév 19, 2023 19:41    Sujet du message: Répondre en citant

John92 a écrit:
1- Se sont joints à eux pour cette réunion le numéro 2 des Affaires Étrangères Sir Alexander Cadogan (peut-être précisé que c’est l’adjoint d’Eden) (
...
2- des gentlemen anglais rirent ? Allons donc, au mieux, ils sourient ) (……) en termes qui, quelques années plus tard, seraient à coup sûr qualifiés de racistes (pourquoi raciste en référence à la virilité, sexistes oui, racistes non, rien à voir – de mon humble opinion - ) et sexistes.
...
3- Il n’a cessé de commercer avec eux, leur vendant notamment du tungstène si précieux pour l’industrie de guerre, qu’à la suite de (en violation des ?? ) deux embargos.
...
une véritable girouette qui ne s’anime que quand le vent souffle d’un côté ou de l’autre , (pourquoi une virgule ?)[/i] résume Cadogan.
...
Sans doute, ce régime a commis des atrocités. Mais bien moins horribles que celles commises (employions les grands mots, vu que ce Mr est dans la surenchère : perpétrées ?) par ceux qui l’ont précédé
...


1) C'est ce que veut dire "numéro 2 des AE", non ?…

2) En privé (comme ici, au sein du Conseil des ministres), les gentlemen anglais peuvent faire preuve d'un humour pas vraiment anglais !
Et si on commence à parler de la virilité d'une nation étrangère, on peut TRES facilement être à la fois sexiste et raciste. Par exemple, et en restant plus ou moins poli : "Ces femmelettes mal blanchies du Bidulistan"

3) Relis mieux, tu vas comprendre. Il n'a cessé de commercer qu'à la suite de deux embargos…

4) Une virgule pour marquer la fin de la citation.

5) Ah oui, bonne idée le "perpétrées".
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Casus Frankie

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loic
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MessagePosté le: Dim Fév 19, 2023 21:19    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
il ne manquerait plus qu’ils lancent une Reconquista depuis le Val d’Aran !

C'est un peu téléphoné. Qui à Londres connaît le Val d'Aran ? Les guerres napoléoniennes ne sont pas passées par là.
Les voies d'accès naturelles entre la France et l'Espagne sont aux deux extrémités des montagnes.
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En principe (moi) ...
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Casus Frankie
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MessagePosté le: Dim Fév 19, 2023 23:24    Sujet du message: Répondre en citant

OK, OK… J'aimais bien le Val d'Aran…
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Casus Frankie

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