Fantasque Time Line

[John92]

Relecture et porpositions:
18 mars
La campagne des Balkans
Salve d’éclairs
Balkans – Nouvelle journée de travail pour l’aviation alliée – la Yougoslavie est justement le seul pays des Balkans où il fasse bon voler aujourd’hui. En conséquence, Perun (italique ou guillemets) s’attache à détruire tout ce qui peut servir à la logistique en Croatie.
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Plus à l’ouest, c’est la gare de triage d’Ostarije qui reçoit la visite des Baltimore (BaltimoreS?)du I/81e EB (Y) – une installation peu défendue,
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Les sept sceaux
Un bureau discret à Belgrade
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Durant l’offensive alliée qui sera certainement lancée ce printemps en Bosnie (et à laquelle il n’est pas prévu, hélas, que les forces régulières royalistes participent), un coup d’Etat (coup d'état?)à Zagreb doit provoquer l’effondrement du Parti oustachi et la disparition de Pavelic (exil, décès soudain, emprisonnement…).
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Les combats se déplaceront ensuite inévitablement vers Vienne et Budapest. Allemands et Alliés partis, Croates et Serbes seront alors enfin libres de solder leurs différents sur (mot en trop je pense)de façon strictement interne, et sans aucune ingérence étrangère pour défendre les titistes.
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Vojd, le dormeur s’est réveillé !
Yougoslavie
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19 mars
La campagne des Balkans
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Vodj, le dormeur s’est réveillé !
Yougoslavie
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Ainsi, la 3e Division “de Choc” de Pero Cetkovic hisse le drapeau yougoslave barré de l’étoile rouge et des six torches sur la ville de Plužine, qui était encore la cible de SchneeSturm (italique ou guillemets)moins de deux mois auparavant.

20 mars
La campagne des Balkans
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Salve d’éclairs - Nouvelle pause technique !
Balkans
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L’aviation alliée passe donc une fois encore la journée au sol, alors que chacun prépare d’arrache-pied le tryptique (triptyque)Veritable-Plunder-Grenade (guillemets ou italique)et que des événements graves se déroulent déjà, semble-t-il, dans les monts de Yougoslavie.
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Les Grecs montent en ligne
Sud de la Serbie
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Devant ce tableau, Vrachnos ne sait pas vraiment comment réagir. Cela le concerne-t-il ? Quelle (Quel?)est au juste le statut de l’AVNOJ auprès des puissances alliées ? Il préfère donc en référer à Athènes.
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Le mariage de Pierre II de Yougoslavie avec Alexandra de Grèce est trop souvent dédaigné par les historiens comme un événement un peu puéril à réserver au Carnet mondain (Carnet Mondain, carnet mondain?)des monarchies européennes.
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Cette insolence, bien qu’elle fût – à l’évidence – involontaire, lui serait (sera?)très difficilement pardonnée par les peuples fraîchement libérés de l’oppression nazie, et jamais totalement par ceux qui souffraient encore à ce moment sous le couteau oustachi, sans parler du fait que la propagande de Pavelic allait se hâter de le présenter aux Croates comme un jeune usurpateur écervelé.
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En effet, dorénavant, faire tomber la maison royale de Yougoslavie, c’était déstabiliser, peut-être gravement, la maison royale de Grèce… et redonner ainsi leur chance (leurs chances?) aux communistes dans ce pays !
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Enfin, plus que tout, Tito souhaitait rassembler les peuples de Yougoslavie sous sa bannière. Pour cela, il n’hésita pas à adopter, sans le dire mais avec sagacité, des décisions convenues avec le gouvernement royal, qu’il reprit sans aucune vergogne à son seul compte personnel. L’Armée (L'armée?) régulière reconnue de tous (et notamment de Belgrade), c’était lui ! L’amnistie des Oustachis qui ne s’étaient pas (pas trop…) ((trop ...) : le pas fait répétition) compromis, c’était lui !
(Robert Stan Pratsky, La Libération de la Grèce et des Balkans, Flammarion, 2005)

Note
16- Aleksandar Ranković écrira bien plus tard, non sans un soupçon de reproche : « Il ne signait jamais ce qui (je pense qu'il manque un mot. Je trouve la phrase bizarre)compromettait. Les exécutions, les incendies de village, tout ce qui était sale, il le laissait aux autres. Il gardait toujours à l’esprit son rôle historique. Il se conduisait comme le futur vainqueur, celui qui avait raison, qui était juste et généreux… »
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Ne pas confondre facilité et simplicité

[John92]

Appendice 4
Les mains sales du maréchal Tito

19 mars 1944, à Paris… et ailleurs
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D’autres Britanniques auraient eu des mots encore plus durs – il serait carrément question d’assassinats (2). Evidemment, les détails font défaut sur ce qui pourrait bien être une tache très noire dans la vie du maréchal auto-proclamé (autoproclamé) – lequel n’a jusque-là avoué qu’un seul lien avec l’Espagne : l’envoi d’un unique convoi de volontaires partant du Monténégro, et qui ne devait d’ailleurs jamais parvenir à Barcelone.
(…)
Le coup est conçu pour faire mal et pour être largement diffusé dans les pays alliés, bien plus que chez les derniers amis de l’Axe – seule une intervention énergique des services de censure français empêchera ces informations, vraies, demi-vraies ou mensongères, d’être largement diffusée (diffusées). Mais Outre-Atlantique, évidemment, l’OSS tentera de leur assurer une certaine publicité.
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Sans doute, ce témoignage a été infirmé depuis par Santiago Carillo… mais Carillon (Carillo ou Carillon; souci avec le n) était secrétaire général du PC espagnol, un PC particulièrement proche de Moscou.
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Ne pas confondre facilité et simplicité

[Casus Frankie]

@John92 : inutile de rappeler les titres, sous-titres et intertitres.
Inutile de relever les anomalies d'enrichissement (gras et italiques notamment). Dommage, mais le système ne les reporte pas et je manque temps pour que tout soit conforme. L'important est que cela figure en Archives
Merci pour le reste (en passant, c'est Carillo, bien sûr !).
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Casus Frankie

"Si l'on n'était pas frivole, la plupart des gens se pendraient" (Voltaire)

[John92]

[LaMineur]

[loic]

Mais à quoi ça sert que je créée un sujet dédié si vous continuez à polluer celui-ci ?
Je vais déplacer les échanges concernés.
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On ne trébuche pas deux fois sur la même pierre (proverbe oriental)
En principe (moi) ...

[loic]

[demolitiondan]

Bof ... au contraire les bases italiennes sont encombrées, celles de Grèce compliquées. Et puis le bon côté de la piste égyptienne c est qu elle sécurisée depuis 40 et il n y a qu à suivre la côte. Le Caire, maillon vital ? Peut être pas mais essentiel.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
C’est en trichant pour le beau que l’on est artiste

[JPBWEB]

Le service de Josip Broz dans l’armée austro-hongroise manque de clarté, mais il ne semble pas que son regiment se soit rendu par intelligence pan-slave avec l’ennemi (russe en l’occurrence). Bien sur, une fois remis de ses blessures et prisonnier de guerre chez les Russes, en pleine révolution bolchevique, Broz entama sa conversion vers le communisme, mais il ne semble pas qu’il ait été rétif a la guerre ni au regime des Habsbourg lorsqu’il en portait encore l'uniforme.
Broz était sous-officier d’active (il faisait son service militaire lors de la declaration de guerre en 1914) dans une unité de reserve croate, donc faisant partie de l’armée royale hongroise et non de l’armée impériale et royale austro-hongroise. Les Croates, quoique slaves, occupaient une place particulière et privilégiée dans la double monarchie, assise sur une vieille tradition militaire. Des Croates étaient presents partout dans l’appareil militaire, tant dans l’armée que dans la marine de guerre, et a tous les grades. Il ne semble pas que Broz ait été autre chose qu’un sujet zélé de l’empire, il avait meme la reputation d’être kaisertreu, c’est a dire particulièrement fidèle a l’empereur. Il était bien noté, on l’avait envoyé dans une école de sous-officiers, et a la fin de 1914, il fut meme proposé pour une promotion au grade d’adjudant, ce qui est tres exceptionnel pour un garçon de 24 ans, suite a une action d’éclat et la capture de 80 prisonniers russes.
Broz fut certes inquiété immédiatement avant la guerre par une cour martiale pour “sédition" (sans qu’on sache vraiment pourquoi), mais il fut acquitté et réintégra son regiment, qui combattit d’abord en Serbie (ce que Broz s’efforçât ensuite de passer sous silence) puis en Galicie contre les Russes. Il fut capturé avec son unité le 25 avril 1915 en Bukovine lors d’une avance russe, sans qu’il soit question de desertion ni individuelle ni collective. Lors des deux premieres années de la guerre, les Russes ont ramassé des dizaines de milliers de prisonniers autrichiens (et les Autrichiens autant de prisonniers russes), souvent des unites entières, et s’il y eut des cas de defections d’unites slaves, surtout plus tard, a partir de 1916, et il s’agissait plutôt de Tchèques et de Slovaques peu motivés pour se battre contre les Russes. Les Polonais ne se faisaient pas prier, et les Croates comme les Autrichiens et les Hongrois non plus.
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"L'histoire est le total des choses qui auraient pu être évitées"
Konrad Adenauer

[loic]

[demolitiondan]

C est pas ce que j'écris JPBWEB - on parle bien d opportunisme et de semoralisation. Sinon, ma source "Tito une vie" est plus que fiable. En tout cas toujours plus que les journaux du NEF.
On ne va épiloguer- mais d une manière générale, dans les années 40, on évite au maximum les traversees d eau.
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Quand la vérité n’ose pas aller toute nue, la robe qui l’habille le mieux est encore l’humour &
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[loic]

[demolitiondan]

Sauf que Le Piree est loin d être libre et les PA requis ailleurs. Pas une partie de plaisir- d ou un souhait légitime de réduire les risques. Tu sais. Comme lorsque les avions faisaient Sao Paulo-Liberia pour réduire la traversée.
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[loic]

[Colonel Gaunt]